Le médiateur de la république, Karim Younes, a annoncé aujourd’hui mardi à partir de la wilaya de Mostaganem, que le récent amendement constitutionnel oblige tout le monde à être mobilisé afin d’apporter les changements nécessaires pour construire une nouvelle Algérie.
“Le Projet d’amendement de la Constitution qui a passé par le référendum populaire avant sa signature la semaine dernière par le président de la République Abdelmadjid Tebboune, nous oblige à recruter et à prendre conscience des aspirations des citoyens cherchant à apporter les changements nécessaires pour construire”, a déclaré Karim Younes, lors d’une réunion avec les autorités locales à la maison de la Culture. Une Algérie nouvelle, cohésive, forte et développée dans un cadre de justice et d’égalité. ”
Ajoutant “nous devons écouter les diverses préoccupations et préoccupations des citoyens et nous efforcer de rompre réellement avec les pratiques négatives antérieures”.
À cet égard, il a mentionné que l’Autorité des médiateurs de la République prépare son rapport annuel, qui sera soumis au Président de la République, qui comprend ses activités aux niveaux national et local, soulignant que le rapport comprend également ce qui est lié aux secteurs ministériels et aux États qui ont répondu à leurs obligations légales en matière de médiation et d’autres qui n’ont pas répondu à cela. “.
Ce rapport reprend les activités de l’autorité, qui a jusqu’à présent réussi à traiter environ 8 mille pétitions et reçu près de 3 mille citoyens et a présenté un cas sur les préoccupations les plus importantes soulevées, notamment la santé, la protection sociale, le logement, l’emploi, la gestion du domaine immobilier, le système éducatif, l’amélioration des conditions de vie des citoyens et autres, ajoute le Médiateur de la République.
Au cours de cette réunion, le Médiateur de la République a affirmé que le représentant local de la médiation de la République dans tous les États est un fonctionnaire nommé par décision du Président pour être un facilitateur, un proche associé et un conciliateur dans ses interventions au profit des citoyens, «à condition que son avantage soit la morale, la bonne réputation et la capacité d’écouter et de dialoguer sans discrimination ni discrimination.»