Le ministre de la Jeunesse chargé du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui, a présidé samedi une réunion avec les cadres et le syndicat des travailleurs de l’Agence nationale des loisirs de la jeunesse (ANALJ). Cette rencontre visait à suivre le plan de modernisation de l’établissement et de ses services, selon un communiqué du ministère.
Le communiqué précise que cette réunion, qui s’inscrit dans le cadre de la série de rencontres entre le ministre et les institutions sous tutelle du ministère, «a été consacrée au suivi de l’état d’avancement de l’élaboration du plan de modernisation de la gestion de l’Agence». Elle a également permis d’«évaluer la mise en œuvre des directives données par le ministre lors de ses précédentes visites et rencontres avec la Direction générale, ainsi que d’écouter les préoccupations des travailleurs».
À cette occasion, Hidaoui a souligné que cette réunion s’inscrit dans «une démarche participative adoptée par le ministère pour résoudre les problématiques liées au développement du secteur et à l’amélioration des conditions de travail».
Dans son intervention, le ministre s’est penché sur les activités des centres de vacances et de loisirs pour l’année 2025, indiquant que l’objectif de cette rencontre «ne se limitait pas à évaluer la campagne estivale mais tend aussi à amener les acteurs et les partenaires à adopter l’approche participative et à mettre en place des plans prospectifs pour améliorer les performances et remédier aux lacunes relevées, en veillant à assurer tous les moyens pédagogiques, éducatifs, sécuritaires et sanitaires ainsi que les moyens de transport nécessaires au confort des enfants».
Le ministre a en outre, évoqué les nouveautés intégrées dans les programmes pédagogiques de ces centres, à travers l’intégration d’activités visant «à renforcer l’esprit d’appartenance et de citoyenneté chez les jeunes, tout en atteignant les objectifs de développement durable, notamment dans le domaine de la protection de l’enfance».
Il a enfin insisté sur l’importance «d’actualiser et d’enrichir les lois régissant les centres de vacances, tout en généralisant l’utilisation des technologies modernes et de la numérisation dans le processus de préparation afin de garantir une gestion transparente des centres», conformément au même communiqué.