Le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l’étranger, Sofiane Chaib, a rencontré, ce mardi au Caire, des membres de la communauté algérienne résidant en République arabe d’Égypte.
Cette activité s’inscrit dans le cadre du suivi continu des résultats de la rencontre entre le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et les membres de notre diaspora, lors de sa visite en Égypte en janvier 2022.
À cette occasion, le secrétaire d’État a salué «l’engagement du Gouvernement à mettre en œuvre les instructions présidentielles visant à protéger la communauté nationale à l’étranger et à promouvoir sa participation au renouveau national».
Cette rencontre, qui s’est déroulée dans une atmosphère conviviale, a permis de «faire le point sur la situation de notre communauté résidant en Égypte et d’écouter leurs préoccupations et aspirations». Chaib a souligné «l’importance capitale accordée par les hautes autorités du pays à leurs citoyens à l’étranger, dans le cadre d’une stratégie renouvelée mettant au cœur de sa méthodologie la participation, l’écoute et une réponse effective à leurs besoins et ambitions, afin de contribuer à la marche du développement économique de notre pays».
Lors du débat interactif, les représentants de la diaspora ont salué l’organisation de cette rencontre, qui a été «une occasion d’exprimer leurs préoccupations et de soumettre leurs suggestions concernant le rôle qui leur est attribué pour contribuer activement au processus de développement national». Ils ont de plus salué «les efforts tangibles et les décisions éminentes du président de la République pour prendre en charge leurs préoccupations».
En conclusion, Chaib a tenu à s’adresser à nos ressortissants à Ghaza, en affirmant que «l’État algérien ne ménage aucun effort pour prendre les mesures nécessaires concernant la diaspora à l’étranger, en vue de leur évacuation où qu’ils se trouvent». Il a cité, à ce propos, les efforts déployés par l’Algérie pour évacuer ses ressortissants de Ghaza, ceux ayant pu quitter la bande de Ghaza, ainsi que ceux du Soudan, du Niger et plus récemment du Liban. Il a aussi exprimé «l’engagement ferme des hautes autorités à poursuivre leurs démarches et efforts pour prendre en charge leurs enfants coincés dans la bande de Ghaza, malgré les obstacles liés à cette opération».