Le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ) a participé, ce lundi, au Sommet de l’avenir organisé à New York, au Etats-Unis, sous le thème «Des solutions multilatérales pour un avenir meilleur», et ce, en marge des réunions de la semaine de haut-niveau de la 79e session de l’Assemblée générale (AG) des Nations unies (ONU), selon un communiqué du CSJ.
Au cours de ce Sommet, auquel ont participé Amine Araâr et Aicha Rebei, membres du CSJ, l’accent a été mis sur «les mécanismes et les législations récemment instaurés par l’Algérie pour impliquer les jeunes dans l’élaboration et l’évaluation des politiques publiques», selon le communiqué. Les intervenants ont unanimement souligné que «l’autonomisation des jeunes et leur engagement dans la vie publique sont essentiels pour garantir un avenir meilleur, en s’appuyant sur des solutions innovantes et des stratégies fondées sur des objectifs communs».
Le communiqué indique que le Sommet a été inauguré par l’adoption d’une charte qui établit «les bases de la réforme», en abordant plusieurs axes tels que la paix, le développement durable et l’intelligence artificielle (IA). Cette ouverture a été marquée par l’intervention de 144 hauts responsables et délégués, dont 9 représentants de pays arabes.
Au terme des travaux, le «Document du sommet de l’avenir» a été adopté à l’unanimité, d’autant qu’il s’agit d’«un engagement universel qui reflète l’esprit et le respect du multilatéralisme, un document qui se veut une charte globale pour la réforme du système international, de la structure financière internationale et des instances financières internationales, plus et particulièrement, du Conseil de sécurité».
Le document a également abordé «les objectifs du développement durable (ODD), la lutte contre la pauvreté et l’effort visant à réduire la fracture numérique entre les pays en voie de développement et ceux développés, tout en faisant face aux défis du changement climatique, et s’intéressant davantage aux questions de la jeunesse et de son avenir», conclut la même source.