Pour créer davantage de richesses, et raccourcir le chemin vers la croissance économique, il est nécessaire, d’activer dès à présent, le Plan national d’investissement.
C’est ce qu’a déclaré, ce dimanche sur les ondes de la Radio nationale, le professeur en sciences économiques, el Houari Tigharsi, qui a également souligné dans le même ordre d’idées, «la nécessité d’activer ce Plan national, dans tous les secteurs ministériels, afin de créer de la richesse, et de réaliser la croissance économique, nécessaire à la mise sur rails, de l’économie nationale».
L’invité de la Radio nationale a, en outre, fait savoir que «l’Algérie possède d’énormes richesses, qu’il convient de bien gérer », soulignant que «les pouvoirs publics, avec à leur tête, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, cherchent à surmonter tous les obstacles, pour créer un climat d’investissement, et parvenir à un développement local, durable».
Aussi, l’économiste el Houari Tigharsi a souligné, «la nécessité pour tous les acteurs économiques, d’agir pour créer de la richesse, établir un climat d’investissement, et renforcer le partenariat, entre les secteurs privé et public, tout en activant le rôle de la société civile, dans la vison nationale du système économique».
Concernant l’investissement public, el Houari Tigharsi a déclaré, que «l’Etat algérien a jeté son dévolu, sur les investissements publics pour parvenir, à l’équilibre régional, en créant une mobilité économique, et en distribuant la richesse, à tous les citoyens», notant «la présence d’une grande mobilité, dans de nombreuses wilayas du pays, à travers le processus de réalisation de projets, et en fournissant des infrastructures».
L’invité de la Radio a, par la même occasion, souligné, «la nécessité d’éliminer les problèmes existants, comme la question du marché parallèle», en indiquant qu’«environ 70 % de ces obstacles bureaucratiques, enregistrés au cours des années passées, ont été réglées et contrôlées, par des Lois et des Législations».
D’autre part, Tigharsi a évoqué l’économie informelle en soulignant, «la nécessité de contrôler les marchés nationaux, et les projets économiques, ainsi que tout ce qui touche, à la création de richesse, à travers un système numérique, dans le but de contrôler les capacités financières, dans tous les secteurs et de les soumettre, au suivi et à l’accompagnement».