L’Algérie a pris acte, avec satisfaction, de l’ordonnance de la Cour internationale de justice (CIJ), enjoignant à l’entité sioniste, de mettre fin à son agression à Rafah, appelant le Conseil de Sécurité, à donner suite à cette ordonnance, indique ce samedi, un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger.
«L’Algérie a pris acte, avec satisfaction, de l’ordonnance de la Cour internationale de justice enjoignant à l’occupant sioniste, l’arrêt immédiat de l’agression perpétrée contre Rafah», précise le ministère.
La même source a indiqué, que «cette ordonnance intervient, dans le sillage de la décision émise par la même juridiction internationale, dans le cadre de l’examen de la plainte de l’Afrique du Sud, sur le génocide en cours à Ghaza, et de la décision du Procureur général de la Cour pénale internationale, ouvrant la procédure de l’émission de mandats d’arrêt internationaux, contre les principaux auteurs de l’agression sioniste, contre Ghaza».
Et de poursuivre : «L’ensemble de ces développements récents, convergent pour marquer le début de la fin, de l’ère de l’impunité, dont l’occupation sioniste a longtemps bénéficié, pour faire endurer au peuple palestinien, les affres de l’occupation, de la colonisation, de la discrimination et de la négation de ses Droits nationaux, inaliénables et imprescriptibles.»
En outre, «l’Algérie demande instamment au Conseil de Sécurité, de donner suite à l’ordonnance de la Cour internationale de justice, en lui conférant un caractère exécutoire, qui mettrait fin aux crimes, de toutes sortes, que l’occupation sioniste fait subir à la population de Ghaza et de Rafah, en particulier», conclut le communiqué.