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Commémoration et appel à l’action : la Journée du prisonnier marque un demi-siècle de lutte

Maissa.ben by Maissa.ben
avril 16, 2024
in International
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Demain, les Palestiniens célèbreront le 50e anniversaire de la Journée du prisonnier, un événement qui survient dans un contexte marqué par une augmentation des arrestations dans les territoires palestiniens occupés et des rapports d’abus dans les prisons sioniste.

Cette journée de solidarité, célébrée le 17 avril de chaque année, commémore la libération du premier prisonnier le 17 avril 1974. C’est une occasion pour les Palestiniens et les militants de la justice à travers le monde de soutenir les prisonniers palestiniens, hommes, femmes et enfants, qui incarnent la résistance à l’occupation sioniste. Cet événement vise également à accroître la pression sur l’entité sioniste pour obtenir la libération immédiate et inconditionnelle de tous les prisonniers palestiniens.

Cette journée intervient cette année dans un contexte difficile marqué par une augmentation des arrestations depuis le début de l’agression contre la bande de Ghaza le 7 octobre 2023. Depuis cette date, l’armée sioniste a intensifié ses opérations de ratissage, envoyant des dizaines, voire des centaines de Palestiniens vers des centres de détention. Selon un dernier bilan, depuis le 7 octobre 2023, environ 8.270 Palestiniens ont été arrêtés en Cisjordanie occupée, dont 3.500 sont en détention administrative sans inculpation ni procès.

Des organisations de défense des droits de l’Homme ont rapporté des cas de mauvais traitements, de torture et d’autres abus dans les prisons sionistes. La situation des détenus palestiniens est fortement critiquée depuis des décennies, mais elle s’est aggravée au cours de ces six derniers mois en raison de l’agression contre la bande de Ghaza. Des ONG ont également dénoncé des violations des droits des détenus, y compris des cas de viol et d’agressions sexuelles.

Le Club des prisonniers palestiniens a accusé l’entité sioniste d’affamer des milliers de détenus depuis le 7 octobre, ce qui constitue, selon eux, une politique dangereuse. En plus de cela, l’entité sioniste restreint la pratique des rituels religieux des prisonniers, ce qui a également soulevé des préoccupations.

Selon des sources palestiniennes, au moins 27 détenus palestiniens sont morts en détention depuis le 7 octobre dernier. De plus, 94 enfants palestiniens sont détenus dans la prison de Megiddo, selon les mêmes sources. Enfin, plus de 270 femmes palestiniennes ont été arrêtées depuis le 7 octobre et 66 journalistes palestiniens ont également été détenus depuis le début de l’agression contre la bande de Ghaza.

La vie de plusieurs détenues dans la prison de Damoun en danger

La Commission des affaires des prisonniers et ex-prisonniers a révélé que chaque jour, «78 détenues risquent leur vie dans la prison de Damoun». Dans un communiqué publié ce mardi, à l’occasion de la Journée du prisonnier palestinien, célébrée chaque 17 avril, ladite commission a précisé que, parmi ces détenues, «60 viennent de Cisjordanie, 3 d’El Qods, 9 des territoires occupés de 1948 et 6 de la bande de Ghaza. Parmi elles, 21 ont été condamnées à une détention administrative et 7 ont écopé de peines de durée variable».

Suite à la visite de l’avocat à la prison de Damoun, la Commission des affaires des prisonniers et ex-prisonniers a rapporté que deux détenues, Aman Nafi’ (60 ans) de Kober, au nord-ouest de Ramallah, épouse de Nael Al-Barghouti, le plus ancien prisonnier palestinien, et Asmaa Shatat de Deir Al-Balah, du centre de la bande de Ghaza, ont été victimes de mauvais traitements lors de leur arrestation. Nafi’ a été condamnée à trois mois de détention administrative, sa peine devant se terminer le 4 juin 2024. Quant à Shatat, elle a été transférée à la prison de Damoun il y a quinze jours après avoir été arrêtée avec son mari Arafat à leur domicile. Son mari a été blessé par balle au pied lors de l’arrestation, laissant derrière lui trois enfants, dont le plus âgé a 13 ans et le plus jeune 3 ans. Shatat a subi de sévères interrogatoires et des passages à tabac violents à plusieurs reprises, laissant des marques visibles sur son visage. Elle a également souffert de dépression nerveuse lorsque son mari a été utilisé comme moyen de pression contre elle, menotté et couvert d’un tissu sur les jambes, montrant des signes de torture et d’épuisement.

La ministre Al-Khalili dénonce les violations des droits des femmes détenues

De son coté, la ministre des Affaires féminines, Mona Al-Khalili, a mis en lumière les graves violations subies par les femmes détenues dans les prisons de l’occupation sioniste, notamment après le 7 octobre, à travers des mesures répressives exacerbées, des actes de torture, des humiliations et des traitements dégradants, en particulier pour celles de la bande de Ghaza.

Dans un communiqué publié ce mardi, par son ministère à l’occasion de la Journée du prisonnier palestinien, Al-Khalili a indiqué que «les témoignages directs de certaines détenues libérées mettent en évidence l’étendue des graves violations des lois sur les droits de l’Homme et des Conventions de Genève».

Elle a appelé «la communauté internationale et les institutions des droits de l’Homme à exercer des pressions sur les autorités d’occupation pour qu’elles libèrent immédiatement tous les détenus, hommes et femmes, ouvrent une enquête internationale sur toutes les violations et tiennent l’entité sioniste responsable de ses crimes contre les détenus».

Al-Khalili a souligné que la Journée du prisonnier de cette année «survient au milieu de l’agression brutale contre le peuple de la bande de Ghaza et de l’escalade sans précédent pratiquée par les forces d’occupation en Cisjordanie». Elle a affirmé que «les femmes détenues souffrent de conditions tragiques dans les prisons de l’occupation, en particulier celles arrêtées dans la bande de Ghaza, dont le sort est inconnu dans des centres de détention non surveillés».

Les témoignages des détenues révèlent des abus, des chantages, des insultes et des pratiques déshumanisantes, violant les règles du droit international humanitaire et des Conventions de Genève.

La ministre a également déploré «la menace de mort proférée contre certaines détenues, causant peur et anxiété, et les arrestations brutales perpétrées après 3 heures du matin». Les détenues de la bande de Ghaza sont isolées des autres, certaines devant abandonner leurs enfants lors de leur arrestation. Les familles ne peuvent connaître les conditions de détention de leurs proches en raison de l’interdiction des visites.

Al-Khalili a souligné que «les violations ne touchent pas seulement les détenus, mais aussi leurs familles, privées de leur droit de visite». Elle a assuré que le ministère, en coopération avec d’autres institutions, «suit la situation des femmes détenues et les violations dont elles sont victimes».

La ministre a conclu en notant que ces crimes «ne sont pas nouveaux», les forces d’occupation sionistes «commettant depuis des décennies toutes sortes de crimes contre les détenus, hommes, femmes et enfants».

Plus de 9.500 détenus, dont 80 femmes et 200 enfants

 Les institutions en charge des affaires des prisonniers ont divulgué des chiffres alarmants, révélant que le nombre des détenus palestiniens dépasse actuellement les 9.500, dont 80 femmes et plus de 200 enfants, dispersés dans les prisons de Megiddo, Ofer et Damon.

Dans un rapport récent sur la situation des détenus depuis le début de l’agression des forces sionistes le 7 octobre dernier, ces institutions ont noté une augmentation significative du nombre des détenus administratifs,  «dépassant les 3.660, parmi lesquels figurent 22 femmes et plus de 40 enfants».

De plus, le nombre des détenus malades a également augmenté, tout comme celui des détenus étiquetés comme combattants illégaux par l’entité sioniste, «atteignant 849, ainsi que celui des journalistes détenus, qui s’élève à 56, dont 45 ont été arrêtés, dont 4 journalistes palestiniennes, depuis le 7 octobre et sont toujours derrière les barreaux».

Par ailleurs, le rapport a mis en évidence une augmentation du nombre des détenus anciens, «atteignant 21 depuis le décès de Walid Daqqa. Quant aux prisonniers condamnés à la perpétuité, leur nombre avoisine les 600, parmi lesquels se trouve Abd Allah Al-Barghouthi, condamné à 67 peines de prison à vie».

En ce qui concerne les martyrs parmi les prisonniers, les institutions ont relevé «un total de 252 décès depuis 1967, avec une augmentation récente de 16 martyrs à l’intérieur des prisons d’occupation». Il convient de noter que cette statistique «ne prend pas en compte tous les martyrs du mouvement captif depuis le 7 octobre, bien que les identités restent à préciser».

La plupart des martyrs de la bande de Ghaza détenus continuent d’être cachés par les autorités de l’occupation, tandis que les corps de 27 martyrs détenus sont toujours retenus, dont le plus ancien est Anis Doleh, dont le corps est détenu depuis 1980.

Tags: JournéePalestineprisonniers
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