Depuis son accession à la magistrature suprême, le 12 décembre 2019, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, n’a eu de cesse, à travers les différentes réformes entreprises, de restaurer et de préserver la dignité des Algériens. Une lutte inlassable, en consécration des engagements qu’il a pris devant le peuple algérien, et par fidélité au serment des glorieux Chouhada.
Et chaque action entreprise pour l’édification d’une Algérie nouvelle, a servi avant tout, l’intérêt du citoyen, car guidée par une écoute attentive des besoins de la population
Aussi, le chef de l’Etat, conscient que la justice sociale est la base de toute émancipation citoyenne, a œuvré sans relâche, à la consécration des droits de tous les Algériens, sur l’ensemble du territoire national, faisant de la consolidation du caractère social de l’État, une boussole pour tous les efforts consentis, afin de renforcer la justice sociale, le bien-être du citoyen, la solidarité nationale et la prise en charge des préoccupations, de l’ensemble des citoyens, dans le cadre de l’équité et de l’égalité.
Car, faut-il le souligner, la dignité du citoyen n’est pas un simple slogan, chez le président Tebboune, mais plutôt, une politique concrète et une méthode de travail, qui guident l’action de l’État, dans la construction d’une Algérie meilleure.
La dignité du citoyen n’est pas un simple slogan, chez le président Tebboune
Pour le politologue Mustapha Heddam, joint hier par nos soins, «évoquer la justice sociale et le bien-être des citoyens, en Algérie, relève de l’évidence, tant la politique économique du pays, prônée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, accorde aux couches sociales, une grande partie de son budget». «Que ce soit pour le logement, le travail, la retraite et les nombreuses subventions des produits de première nécessité, l’Algérie passe pour être le pays, pour ne pas dire l’unique, qui accorde une importance capitale, aux couches sociales en assurant une juste répartition», a-t-il d’emblée souligné.
Et d’ajouter à ce sujet : «Toujours dans le souci de consacrer la justice sociale et de lutter contre le phénomène du chômage chez les jeunes, l’Etat a procédé au lancement de nombreux projets, au profit des zones d’ombre visant, à assurer une prise en charge réelle, des préoccupations de leurs habitants, à travers l’ensemble du territoire national.»
Précisant que «cette démarche illustre sur le terrain, les actions concrètes de l’Algérie nouvelle, pour impulser une nouvelle dynamique, à la politique sociale de l’Etat, en matière de développement local et de justice sociale».
Que chaque Algérien jouisse pleinement de ses droits
Poursuivant son argumentaire, notre interlocuteur n’a pas omis de préciser, que «sous le sceau de l’égalité des Algériens en matière de droits, le président Tebboune n’a eu de cesse de travailler, pour les consacrer sur tout le territoire national, pour que chaque Algérien jouisse pleinement, de ses droits essentiellement consacrés dans la nouvelle Constitution», mettant en exergue le fait, qu’«outre l’éducation et la santé qu’il garantit aux citoyens, le président Abdelmadjid Tebboune poursuit sa politique sociale d’accès au logement, dans sa formule sociale, mais aussi à travers l’aide substantielle accordée à la construction du logement rural», soulignant «l’entière disponibilité du président Abdelmadjid Tebboune, pour assurer le bien- être des citoyens algériens».
Par ailleurs, selon le politologue Mustapha Heddam, «la justice sociale est au cœur du programme présidentiel, car estimant inacceptable, la situation de précarité et de dénuement incompatible, avec les attentes de changement profond et radical».
C’est pourquoi elle constitue, pour notre interlocuteur, «la priorité de l’Algérie nouvelle, attachée au développement humain et à la satisfaction des besoins essentiels en eau potable, en gaz naturel et en infrastructures routières et éducatives, dans les zones montagneuses et les régions éloignées du Sud et des Hauts-plateaux».
Les indicateurs atteints, dans le domaine de la justice sociale, sont très significatifs
Interrogé également à ce sujet, l’économiste Brahim Guendouzi n’a pas eu de peine à indiquer, que «les indicateurs atteints par l’Algérie, sous la férule du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dans le domaine de la justice sociale, sont très significatifs, au regard du système salarial et du système de sécurité sociale, qui sont les deux piliers, sur lesquels repose la politique sociale de notre pays».
Et de préciser sa pensée en affirmant, que «les mesures ayant accompagné les augmentations, telles que la protection des moyens de subsistance du citoyen algérien, des tentatives de spéculation, dans le but de préserver et améliorer le pouvoir d’achat, et de concrétiser le concept de sécurité sociale, sont très significatives à ce sujet».
C’est pourquoi, selon notre interlocuteur, «en plus des revalorisations des salaires, il y a eu aussi celle des pensions de retraite, et l’institution d’une allocation chômage aux jeunes. Une allocation, qui a été revue à la hausse, passant de 13 000 DA à 15 000 DA, sur décision du président Tebboune». «Aussi, l’Etat a également pris plusieurs mesures, à l’effet de garantir la justice sociale, dans divers domaines, à travers le développement durable, la réduction des disparités entre les différentes régions du pays, et le développement des zones d’ombre, afin d’assurer la dignité et une vie décente aux citoyens», a-t-il ajouté.
La justice sociale constituera, toujours, la priorité de l’Etat algérien
C’est pourquoi, pour l’expert Brahim Guendouzi, «la justice sociale constituera, toujours, la priorité de l’Etat algérien, et de ses Institutions». «Cette notion s’est matérialisée, à travers des mesures concrètes qui ont été prises, pour permettre aux citoyens, de vivre une vie digne et loin de la précarité et de la vulnérabilité sociale», a-t-il relevé.
En outre, notre interlocuteur a mis en exergue, le fait selon lequel : «Le chef de l’Etat accorde un intérêt majeur, à la concrétisation de la justice sociale, à travers la révision de l’Impôt sur le revenu global (IRG), la revalorisation des salaires et l’institution de l’allocation chômage, pour préserver la dignité des jeunes, et les efforts visant à créer des postes d’emploi et régulariser davantage d’employés, ayant bénéficié d’une intégration définitive.»
Car pour Guendouzi, «la dignité du citoyen n’est pas un slogan conjoncturel mais une politique, une voie et une méthode de travail dans l’Algérie nouvelle que le président, Abdelmadjid Tebboune, s’efforce à bâtir, depuis son élection au sommet de l’Etat. Et le rapprochement de l’administration du citoyen, n’est pas non plus un vain slogan, mais une réalité reflétée par les mesures et les réalisations sur le terrain».
Être au service du citoyen, c’est renforcer son sentiment d’appartenance à sa Patrie
«Tout effort et toute démarche participant à l’édification d’une Algérie nouvelle, fondée sur des bases saines, devaient être au service du citoyen et répondre aux aspirations du peuple», dit-il, en assurant, à cet égard, que «plus de 80% des décisions relatives à l’amélioration de la situation des zones d’ombre, ont été effectivement mises en œuvre».
«Le caractère social de l’Etat algérien a été bien résumé, dans les différents discours du président Tebboune, qui n’a eu de cesse, de déclarer qu’’’être au service du citoyen, c’est renforcer son sentiment d’appartenance à sa Patrie. Il ne s’agit pas de slogans populistes, mais d’une question de principe’’», a souligné Guendouzi, en guise de conclusion.