Dans une cérémonie accueillie par le Palais de la culture Moufdi-Zakaria, la ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a honoré de sa présence la cérémonie de la 2e édition du concours du prix «du meilleur poème en éloge au Prophète Mohammed», lancé par le ministère de la Culture et des Arts à l’occasion du mois sacré de Ramadhan.
La cérémonie de clôture s’est déroulée en présence du en présence du ministre de la Communication, Mohamed Laagab, du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Youcef Belmahdi, et du président du Conseil supérieur soufi en Palestine, Mohamed Abdelkrim Nadjem, en sus des cadres et représentants de divers ministères et instances publiques.
Le Jury de cette édition a décerné le premier prix au poète Nadir Tayyar de la wilaya de Constantine dans la catégorie Fasih (poésie classique), tandis que la deuxième place est revenue à Ahmed Boufathta de Jijel, et la troisième place au poète Khalil Abbas de Tébessa.
Dans la poésie du genre Malhoune le premier prix est revenu au poète Kouizi Farouk de la wilaya d’El Meghaier, le deuxième prix au poète Sassoua Ahmed de la wilaya de Tiaret et le troisième au poète Kacem Chikhaoui de la wilaya de Tissemssilt.
Initiée au début du mois de février par le ministère de la Culture et des Arts, cette seconde édition du concours du «meilleur poème en éloge au Prophète Mohamed (QLSSSL)» a été ouverte à tous les poètes algériens, dans les catégories Fasih et Malhoune. Les participants étaient tenus de soumettre des poèmes inédits, spécialement écrits pour le concours et jamais publiés auparavant.
Le concours s’est étalé sur quatre tours pour décerner le Grand Prix dans chaque catégorie, Fasih et Malhoune. Le jury, présidé par l’éminent universitaire Ali Melahi, était composé de Mecheri Benkhelifa, Lakhdar Felous, Boulerbah Othmani et Khaled Chahlal, qui ont supervisé l’ensemble du processus.
La cérémonie de clôture a été marquée par des chants religieux en l’honneur du prophète (QLSSSL), interprétés par les troupes palestinienne de madih «Ahbab el Mostafa», fondée en 2006 dans la ville de Naplouse, et algérienne «El Baha» de Boussaada.