Le président du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Abdelmadjid Zaâlani, a affirmé, lundi à Sidi Bel Abbès, que «l’Algérie n’a jamais abandonné les principes de la Déclaration du 1er Novembre».
Zaâlani, lors de l’ouverture d’une journée d’étude sur «le citoyen et les droits de l’Homme», à l’université «Djillali Liabès», lors du deuxième jour de sa visite dans la wilaya de Sidi Bel Abbès, a déclaré, que «l’Algérie avait des positions constantes et honorables, pour la protection des droits de l’Homme, et le soutien à la cause palestinienne au sein des Nations unies, ainsi que sa détermination, à poursuivre l’entité sioniste devant la Cour internationale de justice».
Le président du Conseil national des droits de l’Homme a déclaré, que «l’Algérie n’a jamais abandonné les principes de la Déclaration du 1er Novembre», et qu’«elle œuvre toujours, à soutenir les causes justes et croit au droit des peuples, à l’autodétermination», soulignant dans le même contexte, les efforts déployés par l’Algérie, pour «promouvoir et protéger les droits de l’Homme, et consacrer l’État de droit».
Il a souligné, que «l’activité remarquable de l’Algérie, dans le domaine des droits de l’Homme, a conduit la communauté internationale, à reconnaître l’importance de l’Algérie, dans ce domaine, comme en témoigne son élection, pour la troisième fois, au Conseil des droits de l’Homme des Nations-unies, avec 178 voix, ce qui constitue une reconnaissance internationale, des efforts de l’Algérie, dans la protection des droits de l’Homme».
De son côté, le wali Samir Chibani, a indiqué que cette journée d’étude, «offre une occasion opportune, de rappeler les dispositions de la nouvelle révision constitutionnelle, initiée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, en tant que couronnement des vastes chantiers de réforme, qu’il a entrepris depuis qu’il a pris en charge la gestion des affaires du pays».
Le même responsable a noté, que «ces réformes consacrent tous les droits et libertés fondamentaux du citoyen, sans distinction entre hommes et femmes, et préservent les droits de l’Enfance, conformément aux différentes conventions internationales», soulignant les efforts déployés, pour réaliser «un développement intégré, notamment dans les zones d’ombre, afin d’améliorer les conditions de vie et de fournir toutes les nécessités, à leurs habitants».
Au cours de cette réunion, organisée à l’initiative de la Faculté de droit et des sciences politiques de l’université «Djillali Liabès», à Sidi Bel Abbès, en collaboration avec le Conseil national des droits de l’Homme, et en coordination avec la wilaya de Sidi Bel Abbès, plusieurs axes ont été abordés, notamment l’éducation dans le domaine des droits de l’Homme, le rôle des Nations-unies dans la promotion des droits de l’Homme, et la protection des droits de l’Homme, dans le contexte de la transformation numérique, le droit du citoyen à la sécurité juridique, et le principe de citoyenneté, ainsi que la qualité du service public, le droit à un environnement sain et sûr, et le droit du citoyen à la justice sociale.
Il convient de noter, que le président du Conseil national des droits de l’Homme a clôturé sa visite dans la wilaya de Sidi Bel Abbès, en tenant une réunion avec la société civile, au siège de la wilaya, où il a supervisé l’installation d’un correspondant du Conseil national des droits de l’Homme, de la wilaya de Sidi Bel Abbès, qui renforcera le rôle de cet organisme, au niveau local.
