La communauté internationale exprime une vive préoccupation, face aux menaces proférées par l’occupation sioniste, à l’encontre de la ville de Rafah, située dans le Sud de la bande de Ghaza. Les déclarations sionistes laissent craindre, une escalade de la violence et des conséquences désastreuses, pour la population civile.
Le ministère des Affaires étrangères palestinien a souligné, que les États soutenant l’occupation «doivent assumer leurs responsabilités, agir pour protéger les civils palestiniens et éviter tout déplacement forcé». Il a appelé à «des mesures internationales immédiates, pour garantir la sécurité des habitants de Rafah, et prévenir toute catastrophe humanitaire».
Le Parlement arabe a également condamné fermement, les intentions d’invasion de Rafah par l’occupation, soulignant «la responsabilité de l’occupation sioniste, dans tout massacre potentiel, et qualifiant cette situation de désastre». Il a appelé «la communauté internationale, à intervenir d’urgence, pour mettre fin à l’agression».
De même, l’Organisation de la coopération islamique a dénoncé les projets d’attaque contre Rafah, mettant en garde contre «les conséquences d’un tel acte, qui pourrait conduire à un génocide et à une catastrophe humanitaire». Elle a appelé à «une action immédiate de la part de la communauté internationale, pour mettre fin à l’agression sioniste».
Le Conseil de coopération des États arabes du Golfe a exprimé sa condamnation et son rejet, des intentions sionistes visant, à attaquer Rafah et à déplacer de force, sa population civile. Il a appelé à «une action collective, pour contrer ces plans et assurer la stabilité de la région».
Le Koweït, le Qatar, la Jordanie et l’Arabie saoudite, ont tous exprimé leur «ferme opposition» aux actions de l’occupation à Rafah, appelant à «des mesures immédiates, pour protéger les civils palestiniens, et mettre fin à l’agression». Ils ont souligné «la nécessité d’un cessez-le-feu et d’une action internationale, pour garantir la sécurité et les droits du peuple palestinien».
Face à cette situation critique, la communauté internationale «doit agir, de manière décisive» pour prévenir une escalade du conflit, et protéger les civils innocents de Rafah, et de toute la bande de Ghaza.