L’Algérie, d’aujourd’hui, est bien différente de celle d’avant l’arrivée du président Abdelmadjid Tebboune au sommet de l’Etat, au mois de décembre 2019. De profondes évolutions politiques, sociales, économiques et culturelles, comprises dans ses 54 engagements, ont fait passer l’Algérie, en un laps de temps très court, dans le camp des démocraties émergeantes et le pays évolue à vive allure.
De l’avis de tous les observateurs de la scène politique nationale, l’Algérie se transforme, à vue d’œil, grâce à la solidité des nouvelles Institutions, l’émergence socio-économique, le retour en force de la Diplomatie algérienne et l’attachement des Algériens, à leur Président et à son Armée nationale populaire, garante de la souveraineté nationale et de l’unité du peule.
Contacté, à ce sujet, l’analyste politique M’Hand Berkouk estime, que «l’Algérie a réussi, au cours des quatre dernières années, sous la conduite du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à mener à bien une expérience démocratique et de développement, pionnière à partir d’une transition politique harmonieuse, conforme aux principes constitutionnels et à la volonté populaire, ainsi qu’une relance économique basée sur la valorisation des capacités nationales, et la libération des initiatives et des énergies de la jeunesse».
L’Algérie se transforme, à vue d’œil, grâce à sa politique socio-économique
Et d’appuyer son analyse par le fait, que «cette expérience a été mondialement louée, par plusieurs Organismes onusiens et laboratoires de recherche spécialisés, qui ont été unanimes à saluer, à travers les différents rapports et observations publiés, les résultats positifs des chantiers de réforme, entamés par le président Abdelmadjid Tebboune, après avoir été élu président de la République, en décembre 2019 et ce, à travers une stratégie globale, fondée sur une vision politique claire, à laquelle a adhéré le peuple algérien et les différentes forces vives du pays».
Selon notre interlocuteur, «le président Tebboune a livré, dans son premier discours après sa prestation de serment, les principaux axes de cette stratégie, dont l’objectif», a-t-il dit, « est de rétablir la confiance du peuple en son Etat, et assurer sa mobilisation (peuple), afin de garantir sa stabilité et son avenir, tout en restaurant l’autorité de l’Etat», en «classant les priorités et en répondant aux aspirations profondes et légitimes du peuple, au changement radical du mode de gouvernance».
Ainsi, se voulant plus précis, l’analyste politique M’Hand Berkouk a tenu à rappeler, que «le grand chantier, de la restauration de l’autorité de l’Etat, a été amorcé par le parachèvement de l’édification institutionnelle, parallèlement à la moralisation de la vie publique, la lutte contre toutes les formes de corruption et la consécration de l’indépendance de la Justice, qui poursuit sa guerre contre tous ceux qui ont porté atteinte aux Institutions et pillé l’argent public».
Ainsi, pour ce dernier, «le pays a ainsi franchi, avec ses Institutions et ses Instances constitutionnelles, une étape dévoilant les contours de l’Algérie nouvelle, confiante en l’avenir».
Plus de 85%, des 54 engagements du président Tebboune, ont été tenus
Revenant sur les engagements pris par le président Tebboune, M’Hand Berkouk a indiqué, que «plus de 80%, des 54 engagements du président de la République, ont été ainsi consacrés». «Le pays a franchi des étapes importantes, et avance à pas fermes, vers le summum, sa place méritée et naturelle», a-t-il indiqué, en poursuivant, à juste titre, que «le processus épineux de réédification s’est réalisé, en un temps record, et dans une conjoncture géopolitique et économique difficile, le président de la République ayant préparé le terrain, en lançant des concertations élargies, avec tous les partenaires politiques, économiques et sociaux, en vue de réaliser un consensus autour des questions nationales importantes, et de former un front national, pour relever les défis auxquels fait face l’Algérie».
Interrogé sur la nouvelle politique étrangère du pays, à l’aune de l’arrivée du président Abdelmadjid Tebboune au Palais d’el Mouradia, l’analyste M’Hand Berkouk a indiqué : «L’élection du président Abdelmadjid Tebboune, à la magistrature suprême, le 12 décembre 2019, marque le début d’une nouvelle Algérie, fidèle au serment de nos valeureux chouhada. Depuis son arrivée au palais d’el-Mouradia, la politique étrangère de notre pays a connu un changement profond et décisif. En effet, l’Algérie est revenue en force, sur la scène internationale et a opéré un redéploiement stratégique, notamment sur le Continent africain, qui est, de l’avis de nombreux experts, notre profondeur stratégique.»
Et d’ajouter à ce sujet, que «Alger, fer de lance du mouvement des non-alignés, du souverainisme et de la défense des peuples opprimés, a retrouvé, sous les directives du président Tebboune, l’action diplomatique, audacieuse et révolutionnaire, des années 1970».
L’Algérie avance, à pas fermes, vers le summum
En effet, comprenant avant l’heure les enjeux et autres dysfonctionnements du système mondial, l’Algérie, selon Berkouk, a une nouvelle fois proposé un nouvel ordre international, plus juste et plus équitable. Cela ne peut se produire, selon Alger, qu’avec une réforme urgente et structurelle des Nations-unies et du système international, né en 1945, qui, compte tenu des derniers développements mondiaux, est en train de perdre sa crédibilité, pour ne pas dire, tout simplement, sa raison d’être.
Dans ce sillage, estime notre interlocuteur, «fort de son crédit et de sa position constante, notre pays a été élu, en qualité de membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations- unies et ce, dans une période de recomposition géopolitique majeure. Un siège, que l’Algérie occupera d’ailleurs de 2024 à 2025».
Depuis l’élection du président Tebboune, l’Algérie a franchi des pas de géants
Sur le même sujet, l’analyste politique, el-Houari Tigharsi, a abondé dans le même sens, en indiquant, que «depuis l’élection du président Tebboune à la magistrature suprême, l’Algérie a franchi des pas de géants, en matière de développement et de reconquête, de la place qui est la sienne parmi les Nations».
L’Algérie avance, à pas sûrs et réels, vers le parachèvement de l’édification de l’Algérie nouvelle
Pour notre interlocuteur, «l’Algérie, qui s’est engagée sur la voie du changement, dans le cadre d’un plan global de redressement national, avance à pas sûrs et réels, vers le parachèvement de l’édification de l’Algérie nouvelle». Et d’étayer son argumentaire en indiquant, que «depuis l’élection, il y a 4 ans, du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à la magistrature suprême, l’Algérie a connu de grandes transformations et un développement remarquable, à plusieurs niveaux», poursuivant dans le même sillage, que «depuis cette date, le président Tebboune a entamé la mise en œuvre des engagements qu’il avait pris devant le peuple algérien, à travers son programme électoral, qui comprenait 54 axes».
«Durant cette période, notre pays a franchi des étapes importantes, dans le processus de réformes politiques, économiques et sociales, ainsi qu’en matière de consolidation des fondements de la démocratie et de l’Etat de droit, dans le but d’asseoir les bases de la nouvelle Algérie, à laquelle aspire notre peuple», a-t-il ajouté.
Autrement dit, pour notre interlocuteur, «après le parachèvement de l’édifice institutionnel de l’Etat, facteur essentiel de stabilité, pour se consacrer ensuite aux questions liées aux volets économique et social, et la reconquête par notre pays de sa place naturelle sur le plan extérieur, tous les signes et indicateurs montrent, aujourd’hui, et sans le moindre doute, que l’Algérie, qui s’est engagée sur la voie du changement dans le cadre d’un plan global de redressement national, avance, à pas sûrs et réels, vers le parachèvement de l’édification de l’Algérie nouvelle, sur le terrain».
C’est pourquoi, pour l’analyste politique, «ces réformes profondes et cette nouvelle orientation de l’Etat, dans tous les domaines, ainsi que les résultats obtenus sur le terrain jusqu’à présent à différents niveaux, ont suscité chez le peuple algérien, de grands espoirs en des lendemains meilleurs, après avoir commencé à cueillir les premiers fruits de la nouvelle Algérie, et rétabli sa pleine confiance en les Institutions de l’Etat, étant grandement convaincu que la voie nationale adoptée apportera un réel changement, et imprimera un nouveau départ à notre pays, lui permettant d’occuper une place de choix, dans le concert des Nations».
La politique étrangère de l’Algérie est caractérisée, par la force et le dynamisme
Au sujet de la politique étrangère que mène l’Algérie, à travers sa diplomatie agissante, le politologue el- Houari Tigharsi a indiqué, que «la politique étrangère de l’Algérie est caractérisée par la force et le dynamisme, en particulier dans ses sphères africaine et arabe», soulignant «sa forte contribution, à soutenir les mouvements de libération dans le Continent africain».
Et d’ajouter à ce propos, que «le même dynamisme a été constaté dans son domaine arabe, à la tête duquel la cause palestinienne, qui demeure une cause centrale pour l’Algérie, qui ne cesse de lui apporter tout son soutien». «Ce dynamisme s’est poursuivi, plus tard, dans la réforme de l’Organisation de la Ligue arabe, pour lui insuffler davantage de puissance et de crédibilité, afin de servir les intérêts de la Nation arabe», a-t-il conclu.