L’année 2023 marque une période exceptionnelle pour l’Algérie, témoignant d’une série impressionnante d’avancées et de réalisations dans des domaines cruciaux. Le pays s’illustre par son engagement sans faille, envers le bien-être de sa population, matérialisé par des progrès significatifs, dans l’éducation, la santé, le développement communautaire et le secteur de l’habitat.
Ces réussites sont le fruit d’investissements stratégiques, d’initiatives novatrices et d’une coopération efficace entre le Gouvernement et les acteurs économiques. À travers cette exploration des multiples facettes de l’évolution algérienne en 2023, il devient évident, que le pays s’affirme comme un acteur dynamique et visionnaire, sur la scène régionale, façonnant un avenir prometteur pour ses citoyens et contribuant activement à la prospérité de la Nation.
Engagement sans faille, envers la préservation de la dignité des citoyens
En 2023, l’Algérie a poursuivi ses efforts pour améliorer le niveau de vie de ses citoyens, consolidant ainsi l’aspect social de l’État. Au cours de cette année, l’accent a été mis sur l’augmentation du pouvoir d’achat, l’amélioration de la prise en charge des populations vulnérables, le renforcement des systèmes de sécurité sociale et de retraite, ainsi que l’amélioration de l’accès au logement et aux services publics de base. L’objectif était d’augmenter les opportunités d’éducation et de formation, permettant à tous les citoyens, d’accéder aux soins de santé, par le biais de diverses mesures et initiatives.
Ces initiatives reflètent l’engagement envers le caractère social de l’État, avec le président Abdelmadjid Tebboune, lançant un programme ambitieux, visant à renforcer les acquis sociaux, en mettant particulièrement l’accent sur la satisfaction des besoins et des services essentiels pour les citoyens. Cela s’inscrit, dans une approche visant à améliorer la qualité et l’équité de ces services.
Le Président avait souligné l’importance des politiques publiques, axées sur le renforcement du pouvoir d’achat, notamment en revalorisant les salaires, pour plus de 2,8 millions d’employés. Des mesures ont également été prises, pour améliorer la justice fiscale, assurer la couverture des besoins fondamentaux, et soutenir divers programmes d’aide sociale, y compris l’augmentation des subventions destinées aux personnes handicapées et aux nécessiteux.
Dans le domaine des transferts sociaux, le Président avait mis en avant, les efforts considérables consacrés, représentant 18,45% du budget de l’État en 2023, pour faire face aux défis résultant de l’augmentation des prix des produits de base, sur les marchés mondiaux.
Une adéquation aux besoins actuels de la population
Le président Tebboune avait souligné, la nécessité d’une action collective, pour relever les défis sociaux imposés par les pressions liées au développement économique. Il avait mis en avant, l’importance de trouver les meilleures formules et pratiques, pour améliorer les mécanismes de soutien social et renforcer les moyens de protection, en particulier pour les catégories vulnérables et défavorisées.
Dans le cadre de cette préoccupation pour les catégories fragiles et démunies, les autorités ont travaillé sur l’ajustement du réseau salarial, en fonction du pouvoir d’achat, tout en continuant de soutenir, socialement, les catégories les plus faibles. Cela a été réalisé, en tenant compte de la valeur du travail et en stimulant la productivité, en tant que références essentielles pour l’augmentation des salaires.
Ces efforts se sont traduits par des augmentations de salaires, prévues sur les années 2022, 2023 et 2024, atteignant jusqu’à 47%. Ces augmentations, combinées à des hausses des allocations de retraite et à des réductions d’impôts sur le revenu, visent à améliorer le pouvoir d’achat des citoyens algériens. Le Président a souligné, que l’État lutte activement, pour protéger le pouvoir d’achat des citoyens, en luttant contre toutes les formes de spéculation et en combattant la corruption, sous toutes ses formes.
Dans un souci de préserver la dignité des citoyens, le seuil minimum des allocations de retraite a également été augmenté, s’alignant sur le salaire minimum, qui a connu une augmentation depuis 2021. De plus, l’allocation de chômage a été augmentée, et l’État prend en charge les coûts de couverture médicale des chômeurs, pendant la période où ils bénéficient de l’allocation.
Ces efforts et les gains obtenus, confirment, une fois de plus, que la dimension sociale de l’État algérien demeure un principe fondamental, ancré depuis l’indépendance, et constamment adapté aux exigences contemporaines, en particulier selon la modification constitutionnelle de novembre 2020.
Maintien du dialogue, pour une société cohérente et transparente
Tout au long de l’année 2023, une série de mesures ont été prises, pour renforcer les dispositifs d’écoute des préoccupations citoyennes, dans le cadre de l’établissement d’une démocratie participative, en accord avec les principes défendus par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et ses engagements envers le peuple algérien.
Dans cette optique, le Président avait approuvé diverses dispositions, visant à établir des canaux de communication directs avec les citoyens, les considérant comme des acteurs essentiels, dans l’élaboration des politiques nationales, pour améliorer leur cadre de vie. Cela implique, non seulement un accès facilité à l’information, mais aussi une écoute directe de leurs préoccupations et propositions.
Ces axes font écho au discours inaugural du président Tebboune en décembre 2019, appelant à tourner la page des conflits, et à unir les forces pour bâtir une République nouvelle, robuste et prospère. Lors de la réunion Gouvernement-Walis, en début d’année, le Président avait souligné l’importance d’écouter les citoyens, de rassurer et de créer des espaces de dialogue, avec des Instances constitutionnelles, telles que l’Observatoire national de la société civile (ONSC), et le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ).
Poursuivant cette approche participative, le Président avait organisé des Assises nationales avec divers groupes, dont les agriculteurs, les porteurs de projets innovants, les jeunes entrepreneurs, les opérateurs économiques et les exportateurs. Il avait également rencontré directement, des représentants de la société civile, au niveau local et de la communauté nationale à l’étranger.
Lors de ses déplacements sur le terrain, le Président insiste toujours, pour rencontrer directement les citoyens, comme en témoignent ses récentes visites, à Tindouf et à Djelfa. Ces rencontres ont permis d’écouter attentivement, les préoccupations des citoyens et de répondre, de manière transparente, à leurs questions, renforçant ainsi le soutien à la vision du président Tebboune, pour la construction d’une Algérie nouvelle.
À l’étranger, le Président avait maintenu le dialogue avec la communauté nationale, en organisant des rencontres au Portugal, en Chine et en Russie. Ces échanges ont été marqués par un franc-parler, mettant en lumière les préoccupations des citoyens à l’étranger, et discutant du rôle des compétences algériennes, dans le développement du pays.
Les instructions strictes, données au Gouvernement, soulignent l’importance de traiter les préoccupations quotidiennes des citoyens, pour construire une société cohérente et établir une nouvelle relation, entre l’administration et le citoyen, conformément aux principes de la démocratie participative et de l’État de droit.
Un mécanisme récent, pour atteindre ces objectifs, est le lancement d’un portail électronique pour les doléances et les correspondances avec les départements ministériels, visant à assurer une prise en charge efficace des préoccupations des citoyens, renforcer leur confiance, dans l’administration et évaluer les performances du service public. Ce portail s’ajoute, à d’autres plateformes électroniques, permettant aux citoyens de soumettre leurs préoccupations à distance, illustrant l’engagement envers la participation citoyenne, et l’amélioration continue des services publics.
Mise en œuvre de 80% des décisions, visant à améliorer la situation des zones d’ombre
En ce qui concerne les zones d’ombre, 80% des décisions visant à améliorer la situation des zones d’ombre, avaient été effectivement mises en œuvre.
Dans un discours à la Nation, prononcé lors de la session extraordinaire des deux Chambres du Parlement, au Palais des Nations (Alger), le président de la République avait précisé, que «80% des décisions relatives aux zones d’ombre ont été effectivement mises en œuvre», ajoutant que «le travail se poursuit, pour rattraper tous les retards résultant de politiques antérieures, ayant conduit à la propagation de telles zones».
Le président de la République avait indiqué, que «six millions de citoyens algériens ont vécu dans des conditions, qui auraient dû être dépassées depuis l’indépendance», soulignant que «la non-application des décisions ayant été données pour améliorer la situation des zones d’ombre, est à l’origine du récent limogeage de plusieurs responsables locaux».
Selon lui, être au service du citoyen algérien, «c’est renforcer son sentiment d’appartenance à sa Patrie», assurant qu’«il ne s’agit pas de slogans populistes, mais d’une question de principe».
Amélioration de la qualité des soins
Dans le domaine de la santé, la prise de soin des citoyens et la préservation du capital humain, a contribué au développement des compétences, à l’augmentation de la productivité du travail et à l’amélioration de la qualité de vie. Le Gouvernement a mis l’accent sur l’amélioration de la qualité des soins, et le renforcement de l’accès équitable aux services de santé.
A cet effet, les ressources humaines, dans le secteur de la santé, ont été renforcées par le recrutement de 195,1 professionnels de la santé en 2023, englobant des médecins généralistes, dentistes, pharmaciens et autres spécialités. Parallèlement, 465,10 personnels paramédicaux ont été formés au cours de la même année, comprenant des aide-anesthésistes, des infirmiers et des sages-femmes, avec la possibilité de reprendre la formation pour obtenir une spécialisation en sciences médicales.
L’amélioration des structures de santé, par la construction de nouveaux hôpitaux spécialisés dans les urgences médicales et chirurgicales, à Batna, Annaba, Mascara et Oran, ainsi qu’un hôpital dédié aux brûlures à Zeralda. Une restructuration des activités des services d’urgence, médicales et chirurgicales, a également été entreprise au sein des Institutions publiques de santé.
En ce qui concerne les accélérateurs linéaires destinés au traitement par radiothérapie du cancer, il est important de noter, que le secteur de la santé dispose de 39 de ces équipements.
Stratégie ambitieuse, pour l’accès au logement
Pour assurer un logement décent pour tous, 108 265 logements ont été livrés, sous différentes formes. Plus de 74 000 aides ont également été accordées, pour la construction rurale et l’auto-construction. Un programme visant à achever près de 297 000 unités résidentielles, sous diverses formes, a été lancé, accompagné de plus de 181 000 subventions pour l’auto-construction, la construction rurale et l’amélioration urbaine.
Dans le cadre de la prise en charge du logement précaire, le Gouvernement a remis plus de 30 000 unités de logement, public locatif.
Ces efforts ont permis d’atteindre une amélioration notable, du taux d’occupation des logements, passant de 6,5 en 2000, à 25,4 en 2023. Le Gouvernement vise à le réduire, à moins de 4, d’ici 2025. Dans le but de faciliter l’accès au logement, la création de la Banque nationale de l’habitat a été réalisée, permettant de diversifier les offres de financement.
Parallèlement, pour garantir des infrastructures de base, la réalisation d’installations associées a été poursuivi, notamment la construction de 263 établissements scolaires, 10 cliniques, 22 postes de police et de gendarmerie. De plus, le lancement de la réalisation de 290 établissements scolaires, 57 cliniques et 60 postes de sécurité, a été effectué.
De plus, le président Tebboune avait annoncé, le lancement du très attendu 3e programme de réalisation de logements, dans le cadre de la Location-vente «AADL 3».
Le Président avait souligné l’importance cruciale du logement, pour le bien-être des citoyens algériens. Il avait affirmé, que le Gouvernement est pleinement engagé à fournir des solutions viables et durables, aux défis liés au logement.
Cap sur le développement humain
En ce qui concerne le développement humain, une attention particulière a été accordée à l’éducation, à l’enseignement supérieur, à la recherche scientifique et à la formation professionnelle. Cela comprend le soutien à l’innovation industrielle et technologique, l’adaptation aux exigences du marché du travail, et l’amélioration des conditions sociales et professionnelles, des acteurs de ce secteur crucial.
La nouvelle vision intégrée du président de la République, vise un développement durable, plaçant l’homme comme moteur central. L’élément éducatif réside dans un système rigoureux de programmes clairs, d’objectifs définis, reposant sur la révision, l’évaluation et la prospective
En 2023, notre pays a connu une augmentation substantielle du taux de réussite aux examens nationaux. Les chiffres officiels révèlent, que le taux de réussite au baccalauréat a atteint un record, de 76,8 %, marquant une nette progression par rapport aux années précédentes.
L’Algérie a pris des mesures significatives, vers la numérisation de l’éducation. Des plateformes en ligne ont été mises en place, pour faciliter l’accès à des ressources éducatives, offrant aux étudiants et aux enseignants, des outils modernes pour enrichir l’expérience d’apprentissage. Cela s’inscrit dans une vision d’une éducation plus inclusive et adaptée aux réalités numériques du 21e siècle.
La qualité de l’enseignement repose largement, sur la compétence des enseignants. L’Algérie a lancé un programme ambitieux de formation continue des enseignants, visant à actualiser leurs compétences pédagogiques, et à les familiariser avec les dernières avancées, dans leurs domaines respectifs.
Dans une démarche d’ouverture et d’enrichissement mutuel, l’Algérie a intensifié sa collaboration avec des Institutions éducatives étrangères renommées. Des partenariats stratégiques ont été établis, pour permettre aux étudiants et aux chercheurs algériens, de bénéficier d’échanges académiques et de programmes de recherche internationaux.
En ce qui concerne l’amélioration de la qualité éducative, les réalisations majeures comprennent l’inauguration de nouvelles installations, d’une capacité de 28 000 sièges à Taghouthe, le recrutement de 7 630 titulaires de doctorat et de 19 professeurs assistants en médecine, améliorant ainsi le ratio national d’enseignants, pour atteindre un enseignant pour 22 étudiants. Des mesures ont été prises, pour revitaliser le système national d’enseignement supérieur, en mettant à jour les programmes de formation en licence, master et doctorat, tout en renforçant la numérisation et en adoptant l’anglais, comme langue d’enseignement, en particulier dans les filières scientifiques et techniques.
De plus, 14 annexes médicales ont été créées dans plusieurs États, telles que Kati Bazar à M’sila, Bou Saada et Saïda, ainsi que des améliorations continues, pour les équipes de recherche et les nouveaux centres de recherche, avec la création de huit équipes et de 118 centres de mission, générant plus de 480 recherches, et le lancement de plus de 200 nouveaux projets. Les conditions de vie des étudiants ont également été améliorées, avec 78% des chambres, maintenant individuelles ou doubles, tout en soutenant les activités récréatives et sportives.
Révision et réalignement des programmes de formation, sur les besoins économiques
En ce qui concerne la formation professionnelle, qui est également l’un des secteurs de l’éducation, de nombreuses mesures ont été prises par le Gouvernement, notamment la programmation de plus de 268 400 nouveaux postes, la création de nombreuses spécialités, l’établissement de nouvelles Institutions, telles que les instituts de l’hôtellerie à Ghardaïa, l’expansion des offres de formation dans les domaines techniques, scientifiques et technologiques. De plus, des centaines de programmes de formation ont été révisés, pour les aligner sur les besoins économiques des entreprises.
Le ministre du secteur, Yacine Merabi, avait souligné l’engagement de l’Algérie, représentée par le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels, à renforcer ses liens traditionnels de solidarité, avec les pays arabes et africains. Il avait affirmé, que la formation des ressources humaines, constituait la base du développement économique, intégrant ainsi ces relations, dans la profondeur stratégique et l’ancrage civilisationnel du pays.
Dans le cadre de ces efforts, le ministre avait évoqué les mécanismes adoptés par le secteur, notamment l’octroi de plus de 500 bourses d’études, pour l’année professionnelle 2023/2024, à des stagiaires de 24 pays arabes et africains. Ces bourses couvrent diverses spécialités au sein des Instituts nationaux spécialisés, à travers le territoire national, mettant l’accent sur les filières professionnelles, techniques et technologiques.
L’Algérie, en 2023, s’est positionnée comme un acteur dynamique et visionnaire, façonnant un avenir prometteur pour ses citoyens, et contribuant activement, à la prospérité de la Nation.