La ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Kaouthar Krikou, a affirmé que «le caractère social de l’État algérien est un principe constant et ancré, préservé depuis l’indépendance, et adapté aux exigences actuelles, notamment en vertu de la révision constitutionnelle de 2020».
La ministre a également mis en avant, le fait que «la solidarité de l’État algérien est un principe constant, enraciné depuis la Déclaration du 1er Novembre 1954». Elle a souligné «l’engagement continu de l’Algérie, à préserver ce principe, tout en l’adaptant aux besoins actuels, notamment à travers la révision constitutionnelle de novembre 2020».
Dans ce contexte, Mme Krikou a souligné, que «le secteur de la solidarité dispose de mécanismes mis en œuvre dans le cadre d’une stratégie nationale moderne, visant à soutenir l’intégration des bénéficiaires dans le processus de développement national, et à garantir leur participation dans le domaine de la production nationale, en particulier les femmes, les personnes en situation de handicap et les personnes âgées».
Elle a également noté, qu’il a été «incarné, pour la première fois, dans la Constitution de novembre 2020, le principe de l’égalité des sexes dans l’occupation des emplois et du marché du travail, renforçant la protection des femmes contre toutes les formes de violence, et l’engagement de l’État, à encourager leur promotion à des postes de responsabilité», mettant en avant «la mission confiée au Gouvernement par le président de la République, pour intensifier ses efforts en faveur du renforcement des mécanismes de soutien à l’intégration des femmes, en particulier celles des zones rurales, dans le processus de production nationale».
La ministre a abordé la politique suivie par l’État, pour l’intégration des personnes en situation de handicap, dans la vie sociale et économique, ainsi que la garantie de l’éducation obligatoire et gratuite adaptée à eux, rappelant «la décision du président de la République, d’augmenter les allocations perçues par cette catégorie et d’encourager leur participation au développement économique, à travers des projets adaptés, assurant leur indépendance économique».
Elle a également évoqué la prise en charge des personnes âgées, qui occupent une place importante dans la législation nationale, ainsi que le dossier de la protection de l’enfance et la promotion de son statut, ce qui constitue, comme elle l’a dit, «un engagement national que l’État et la famille, s’efforcent de garantir et de suivre une démarche encourageant leur participation à la vie publique».
Mme Krikoua souligné, que «tous les efforts convergent en Algérie, et les mécanismes sont diversifiés, pour réaliser l’objectif de préserver le caractère social enraciné de l’État algérien, afin de renforcer son système de protection pour promouvoir le développement national».