Lors de la deuxième session du dialogue stratégique entre l’Algérie et le Royaume-Uni, les deux pays ont réaffirmé leur engagement, à parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable pour le Sahara occidental. Le communiqué conjoint, émis à l’issue de ces travaux, souligne «l’importance de respecter le Droit à l’autodétermination du peuple sahraoui, conformément aux principes de la Charte des Nations-unies».
Les déclarations des deux parties mettent en avant leur attachement aux principes du règlement onusien, reconnaissant le Droit fondamental du peuple sahraoui à l’autodétermination. Cet engagement réaffirmé témoigne de «la volonté commune, de trouver une solution politique juste et durable, en accord avec les normes internationales».
L’Algérie et le Royaume-Uni ont exprimé «leur plein soutien, aux efforts déployés par l’Envoyé personnel du secrétaire général des Nations-unies, Staffan de Mistura, ainsi qu’à la Mission des Nations-unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (MINURSO)». Ce soutien souligne «l’importance de la médiation internationale, dans la résolution de ce conflit régional».
Les entretiens, entre le ministre des Affaires étrangères algérien, Ahmed Attaf, et le ministre d’État britannique Lord Tariq Ahmad de Wimbledon, ont été qualifiés de «constructifs». Les deux responsables ont discuté de la coopération bilatérale, actuelle et future, soulignant «l’importance de renforcer les liens entre les deux Nations».
Les ministres ont également échangé leurs évaluations de la situation dans la région du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord (MENA), ainsi que dans la zone sahélienne. Cette discussion reflète «la volonté des deux pays, de coopérer sur des questions régionales et multilatérales d’intérêt commun, démontrant ainsi leur compréhension des défis complexes qui touchent ces régions».
La réaffirmation de l’engagement de l’Algérie et du Royaume-Uni, envers une solution politique juste au Sahara occidental, basée sur le respect du Droit à l’autodétermination, souligne «l’importance de la coopération internationale pour résoudre les conflits régionaux». Ces développements positifs ouvrent la voie à des efforts continus, visant à «instaurer la paix et la stabilité dans la région».