De son coté, le ministère palestinien des Affaires étrangères et des Expatriés a chargé le Conseil de sécurité des Nations unies, la communauté internationale et les pays qui continuent de soutenir l’entité sioniste dans sa guerre contre notre peuple sous prétexte de « légitime défense », de la responsabilité de l’échec à exercer une pression réelle sur l’État d’occupation pour mettre fin à son agression contre la bande de Ghaza et l’obliger à fournir les besoins humanitaires de base des citoyens, y compris l’eau, l’électricité, la nourriture, les médicaments, le carburant et la stabilité dans leurs foyers.
Dans un communiqué publié aujourd’hui, mardi, le ministère a averti contre « la perte par le peuple palestinien de ses espoirs dans le rôle de la communauté internationale pour mettre fin à l’agression immédiatement, et de l’accomplissement de ses devoirs et missions dans la protection de notre peuple et la fin de l’injustice historique qui lui a été infligée, qui persiste de génération en génération, catastrophe après catastrophe. »
Le ministère a souligné « la détermination de l’État d’occupation à intensifier le génocide et le nettoyage ethnique contre notre peuple à Ghaza en particulier, pour le 39e jour consécutif, et son agression ouverte menée par les soldats de l’occupation et les milices des colons armés contre notre peuple en Cisjordanie occupée, y compris El Qods. »