La déléguée nationale pour la protection et la promotion de l’enfance, Meriem Cherfi, a reçu ce lundi, le vice-président de la Commission saoudienne des droits de l’Homme, Hicham Aal Al-Cheikh, et la délégation qui l’accompagne.
Lors de la rencontre, Mme Cherfi a présenté «l’expérience algérienne dans le domaine de la protection et de la promotion des droits de l’enfant», mettant particulièrement en avant «l’importance que l’Etat accorde à cette tranche fragile de la société algérienne». A cette occasion, elle a exposé «le cadre juridique relatif à l’enfance», qui fait de l’Algérie, selon ses termes, «un pays leader dans le domaine de la protection de l’enfance».
Mme Cherfi a également présenté les missions de la Commission nationale de protection et de promotion de l’enfance, mettant en lumière ses réalisations, notamment en ce qui concerne les mécanismes visant à «rapprocher la Commission des citoyens pour répondre à leurs préoccupations liées à l’enfance».
De son côté, le président de la Commission des droits de l’Homme du Royaume d’Arabie saoudite a salué l’expérience algérienne dans le domaine de la protection de l’enfance, la qualifiant de «remarquable». Il a également exprimé son espoir de voir «l’Algérie et l’Arabie saoudite échanger leurs expériences et expertises dans ce domaine». A la même occasion, la délégation saoudienne a visité la cellule de réception des notifications située au siège de la commission, un des mécanismes les plus importants mis en place par l’Etat pour veiller à la protection des droits de l’enfant.
Renforcer la coopération bilatérale dans le domaine de la jeunesse
Le vice-président de la Commission saoudienne des droits de l’Homme, Hicham Aal Al-Cheikh a été accueilli dans la mâtiné par le président du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui.
Au terme de l’audience, Hidaoui a indiqué que «cette rencontre avait permis à la délégation saoudienne de découvrir le Conseil supérieur de la jeunesse et de prendre connaissance de l’expérience pionnière de l’Algérie en matière d’association des jeunes dans tous les domaines, notamment à travers la conception du Plan national jeunesse (PNJ), ainsi que des politiques, stratégies, programmes et dispositifs publics dédiés aux jeunes».
«Après un échange de vues sur plusieurs questions liées à la jeunesse, les deux parties ont convenus de renforcer la coopération bilatérale et les visites», selon le communiqué de la CSJ.