Le Festival international du court métrage de Tyro, qui rassemblera 18 pays, dont l’Algérie, avec 29 films, aura lieu du 4 au 6 mars, selon les organisateurs qui ont en fait le pari.
Selon l’association Tiro, en collaboration avec Istanbouli Théâtre, ce festival, dans sa dixième édition, sera le récipiendaire de films allant de la fiction au documentaire et à l’animation.
Il faut souligner qu’avec 29 films, 18 pays, l’Algérie, l’Arabie saoudite, l’Irak, la France, l’Iran, la Syrie, le Bahreïn, la Suisse, les Etats-Unis d’Amérique, le Royaume-Uni, la Belgique, la République tchèque, la Palestine, l’Italie, la Jordanie, la Chine, l’Egypte et le Liban, seront en compétition. De plus, selon les organisateurs, ces films concourront pour les prix du meilleur film narratif, du meilleur film documentaire, du meilleur film d’animation, du meilleur acteur, de la meilleure actrice, de la meilleure photographie et du prix du jury, qui comprend la réalisatrice espagnole Ana Sandero Alfrez, le réalisateur soudanais Nasser Youssef et les réalisateurs Muriel Abu Al-Rous, Walid Monis et Fadi Syriani et Chadi Zidan du Liban.
Concernant l’objectif assigné à ce grand événement cinématographique, le fondateur du Théâtre national libanais, acteur et metteur en scène Qassem Istanbouli a souligné, dans un communiqué, qu’il est «nécessaire de faire la part belle aux films traitant de la question de la liberté d’expression et l’importance du rôle que le cinéma joue dans le changement et la prise de conscience». «Notre festival salue tous les révolutionnaires et combattants afin de construire un monde dans lequel nous vivrons dans la dignité et la liberté, où le soleil est le théâtre et où l’obscurité et le fil de lumière soient en corrélation pour l’intérêt du cinéma», a-t-il ajouté.