Dans le cadre du suivi du projet d’exploitation de la mine de zinc et de plomb au niveau des communes d’Amizour et de Tala Hamza et afin d’ouvrir la voie à toutes les parties prenantes à ce projet, notamment les citoyens, les cadres et les chercheurs de l’Université Abderrahmane-Mira, le wali de Béjaia a présidé une réunion de coordination en présence du représentant de la société algéro-australienne WMZ, a indiqué la cellule de communication de la wilaya.
Selon la même source, des professeurs universitaires, des chercheurs de diverses spécialités telles que la physique, l’anthropologie, la psychologie…., les membres du comité multi-spécialités mis en place dans le cadre du projet d’exploitation de la mine de zinc et de plomb ont participé à cette rencontre.
Le wali a rassuré les représentants des associations, tout en affirmant que «toutes les études nécessaires avaient été menées pour évaluer l’impact environnemental de l’exploitation de la mine et la méthode de son exploitation qui a été choisie et approuvée, poursuivant que le projet est conforme aux exigences environnementales et spécifiques de la mine».
Le wali a tenu à préciser que «les études liées aux impacts sur l’environnement et celles liées aux risques ont été approuvées par les ministères de l’Environnement et de l’Intérieur», soulignant l’importance du projet, «qui offrira des postes d’emploi aux diplômés universitaires et des centres de formation professionnelle, soit environ 700 postes directs et 4.000 indirects, sans compter l’impact positif sur le développement économique de la région».