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L’Algérie réalise un décollage économique prometteur : Le pari gagné du président Tebboune

Yasmine.H by Yasmine.H
décembre 31, 2022
in Economie, Flash-info, National
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Trois ans après l’élection de Abdelmadjid Tebboune à la magistrature suprême, l’Algérie a enregistré un saut qualitatif appréciable, concrétisé par de nombreux indicateurs de performance relatifs au taux de change du dinar, à l’excédent de la balance commerciale, à la hausse des revenus, à la croissance des exportations hors hydrocarbures et autres chiffres positifs, qui font qu’on peut la qualifier comme l’une des économies fortes.

En termes de chiffres, l’Algérie peut se targuer d’avoir insufflé 7 réalisations économiques au cours de l’année 2022, représentées par l’amélioration des indicateurs financiers, l’augmentation des exportations hors hydrocarbures, la promulgation d’une nouvelle loi sur les investissements, la hausse des salaires, des subventions et des pensions, le confinement de la spéculation sur les matériaux de base, le début d’une percée dans l’automobile, et l’annonce d’une forte volonté de rejoindre le groupe «BRICS».

80 start-up financées durant les onze premiers mois de l’année 2022

L’intérêt pour les Petites et moyennes entreprises (PME) a augmenté dans la plupart des économies du monde, et compte tenu du rôle important que ces dernières jouent dans la réalisation du développement économique, le gouvernement cherche donc à améliorer leur présence avec le financement judicieux à travers lequel elles peuvent relever les défis et soutenir leurs activités. Après avoir mis en place des mesures pour favoriser la création de start-up il y a deux ans, l’Exécutif algérien continue de créer les conditions idéales pour un véritable décollage économique  Elles sont plus de 80 start-up à avoir été financées durant les onze premiers mois de l’année 2022 par le Fonds de financement des start-up.

Le Fonds, qui a récemment renforcé ses capacités de financement en vertu d’une convention avec la Direction générale du Trésor pour le financement des fonds d’investissement des wilayas, a étudié depuis sa création en octobre 2020 un total de 350 demandes de financement, examinant entre 20 à 25 dossiers par mois. Il propose trois possibilités de financement en fonction du type de la start-up concernée, à savoir un financement jusqu’à cinq millions de DA, comme seuil maximal pour les start-ups qui viennent de se lancer, un autre financement dédié aux start-up déjà existantes, qui s’élève à 2 milliards de DA, et le dernier est réservé aux start-up plutôt matures, pouvant bénéficier d’un financement allant jusqu’à 15 milliards de DA maximum.

Jusqu’à aujourd’hui, des start-up à travers 22 wilayas, spécialisées dans 18 domaines d’activité, ont été financées dans le cadre d’une approche purement économique.

Le Fonds a signé en août dernier une convention avec la Direction générale du Trésor et de la gestion comptable des opérations financières de l’Etat pour l’exploitation des fonds d’investissement des wilayas d’une valeur totale de 58 milliards de DA au profit des jeunes entrepreneurs à travers toutes les wilayas, concrétisant ainsi le plan d’action du gouvernement.

Excédents commerciaux et financiers

Les exportations hors hydrocarbures ont atteint 7 milliards de dollars fin décembre, avec un excédent de la balance commerciale qui devrait atteindre 17 milliards de dollars à la fin de l’année, selon le Premier ministre, en plus des revenus des hydrocarbures dus à la hausse des prix du pétrole et du gaz, pour atteindre 50 milliards de dollars, selon les estimations.

Pour la première fois depuis des années d’érosion, le dinar algérien a connu une reprise sans précédent, puisque la loi de finances de 2022 a fixé la valeur de la monnaie algérienne par rapport au dollar américain à 149 dinars pour un dollar, et elle a atteint 140 dinars à partir de septembre dernier, et juste au début de ce mois de décembre, 1 dollar valait 138 dinars, au moment où l’on s’attend à ce que l’Algérie conclut l’année fiscale avec des réserves de change en devises fortes équivalant à 54,6 milliards de dollars, avec une tendance à la hausse au cours des prochaines années, le retour du contrôle des recettes après leur tarissement fin 2017, des chiffres presque imperceptibles pour la dette extérieure et d’autres indicateurs réconfortants.

Grâce aux réalisations exceptionnelles qu’a connues l’année 2022 dans le domaine des exportations hors hydrocarbures, ainsi qu’à l’augmentation des exportations d’hydrocarbures, la balance commerciale devrait enregistrer un excédent de 17,7 milliards de dollars à la fin de l’année, une augmentation de 16,6 milliards de dollars par rapport à 2021.

Ce saut qualitatif enregistré par la balance commerciale, qui souffrait auparavant d’un déficit, n’aurait pas été possible sans la politique commerciale menée par l’Etat pour favoriser les exportations hors hydrocarbures, sans négliger le rôle des prix élevés du carburant sur les marchés internationaux et son impact positif sur les recettes.

La déclaration de politique générale du gouvernement indique que «les mécanismes qui renforcent la résilience de l’économie nationale pour faire face aux chocs externes constituent le cœur du travail du gouvernement». Sur la base de cette tendance, les exportations de matières premières devraient atteindre 56,5 milliards de dollars d’ici la fin de 2022, dont 49,5 milliards de dollars d’exportations d’hydrocarbures.

Contrôle et réduction des importations

D’autre part, au cours de l’année 2022, la politique de régulation et de réduction des importations dans le but de protéger la production nationale et de limiter la consommation des réserves de change, a permis de maintenir un équilibre des importations de matières premières, ce qui est attendu pour atteindre 38,7 milliards de dollars d’ici la fin de 2022.

Ces résultats ont été obtenus grâce à la prise de plusieurs mesures, représentées notamment par l’élaboration de cartes nationales de production, où ont été recensés environ 419 000 produits nationaux, environ 13 600 importateurs et environ 5500 exportateurs.

Par ailleurs, l’activité import a été réorganisée pour le processus de revente immédiate, à travers la spécialisation des importateurs selon des divisions d’activités homogènes. Ainsi, le nombre d’importateurs est passé d’environ 43 000 importateurs à moins de 13 600 importateurs en 2022, ce qui représente une baisse de 68%.

La loi sur les investissements voit le jour

Les derniers mois, la nouvelle loi sur les investissements a été promulguée, puisque ce texte législatif a été publié au Journal Officiel en juillet dernier, après 3 révisions au niveau du Conseil des ministres, après correction, mise à jour et révision par un décret présidentiel. Le nouveau texte tant attendu après 3 ans de délibération est aujourd’hui prêt et salué par les opérateurs économiques tant nationaux qu’étrangers.

Les textes d’application du texte législatif ont également été publiés de manière urgente, en septembre dernier, afin de continuer à lever les obstacles sur les projets gelés, et aussitôt les organes encadrant l’activité d’investissement mis en place, dirigés par l’Agence algérienne pour l’investissement, cela a mis fin à la bureaucratie, à la mauvaise gestion, et la rupture avec les anciennes  pratiques, alors que le Conseil national consultatif des petites et moyennes entreprises compte aujourd’hui plus de 1700 projets d’investissements étrangers, qui expriment depuis des années leur désir d’investir en Algérie.

Les hommes d’affaires et les organisations patronales ont été très satisfaits de la nouvelle loi, et ont déclaré qu’elle inclut l’immunité légale qui la rend non sujette à modification ou à révision pendant au moins 10 ans, qu’elle répond à toutes les aspirations et accorde toutes les facilités pour accompagner les maîtres d’ouvrage à travers des privilèges et des exonérations à tous les niveaux, et qui accompagnent le projet depuis sa création. Le nouveau projet de loi sur les investissements, dans sa troisième mouture, prévoit trois systèmes d’incitation pour les investisseurs, à savoir des incitations selon les secteurs prioritaires, des incitations selon les investissements structurés et des incitations selon les domaines auxquels l’Etat accorde une attention particulière.

Toutes ces réformes augurent d’une amélioration du classement de l’Algérie dans les rapports internationaux, parlant du climat des affaires, car le Premier ministre avait précédemment confirmé que les compilateurs de rapports dans le monde sont tenus aujourd’hui de reconsidérer le classement de l’Algérie et de prendre compte les réformes récentes engagées et des efforts déployés par les autorités pour améliorer le climat des affaires.

Finance islamique : plus de 50 milliards DA attirés

Deux ans et 6 mois se seront écoulés depuis le lancement officiel de la finance islamique en Algérie, et le dernier résultat annoncé par les responsables du secteur confirme l’accumulation d’une épargne de plus de 5000 milliards de centimes, et révèle le grand succès remporté par cette nouvelle formule de financement dans une circonstance record d’adoption d’une marge bénéficiaire et de mécanismes de gain «halal» au lieu de l’intérêt usuraire dont les Algériens sont aliénés.

Au cours de l’année 2022, les responsables du secteur bancaire ont pu populariser la banque islamique à travers 6 banques publiques et lancer des offres spéciales pour les professionnels, au lieu de se contenter de financement à la consommation qui comprend les produits électroménagers et le financement immobilier, sans compter la réduction du coût des services islamiques relativement à travers les privilèges accordés par les lois de finances complémentaires de 2021 et 2022 qui joue un rôle important dans l’augmentation de la demande des citoyens pour ce type d’offres et de services, et la réduction des délais pour obtenir des financements et répondre à des dossiers en moins d’un mois.

Le rêve de la voiture algérienne… le premier pas

L’année 2022 a vu le premier pas vers la résolution du dossier des importations des voitures. Après une longue durée, au mois d’octobre 2022, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a ordonné d’autoriser les citoyens à importer les véhicules de moins de 3 ans et les constructeurs automobiles étrangers à importer les véhicules pour les écouler en Algérie.

Il a également donné des directives pour «autoriser les constructeurs automobiles étrangers à importer les véhicules pour les vendre en Algérie, parallèlement au suivi méticuleux et continu du processus de lancement d’une véritable industrie automobile en Algérie dans les plus brefs délais».

Le président de la République a, en outre, donné ses instructions en vue de «présenter le cahier des charges relatif aux concessionnaires automobiles lors du prochain Conseil des ministres pour en arrêter le contenu avant la fin 2022».

Quant à la fabrication, à laquelle le gouvernement attache une grande importance, le 13 octobre, le ministère de l’Industrie a révélé un contrat avec la société italienne «Fiat» pour l’industrie automobile, la branche du complexe «Stellantis», le quatrième groupe le plus important au monde dans le but d’implanter un projet de fabrication de voitures dans la zone industrielle «Tafraoui», dans la wilaya d’Oran, et selon cet accord, l’entreprise italienne développera des activités industrielles, des services après-vente et des pièces détachées pour cette marque. Le ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, avait confirmé que les premières voitures «Fiat» fabriquées en Algérie seront disponibles à partir de fin 2023, avec un programme de production de 60 000 véhicules la première année, pour atteindre par la suite véhicules 90 000 par an.

En plus de «Fiat», les autorités algériennes, par l’intermédiaire du ministère de l’Industrie, ont engagé des négociations avec des complexes internationaux pour conclure des contrats ultérieurs à l’étape suivante.

Augmentation des salaires, allocation chômage

Le 25 décembre 2022, le président de la République, Abdelmadid Tebboune, a présidé un Conseil des ministres, où il a ordonné l’augmentation des salaires au cours de 2023-2024, entre 4500 DA/an et 8500 DA/an selon les catégories, soit des augmentations au cours de 2022, 2023 et 2024, atteignant 47%.

L’augmentation du seuil minimum de la pension de retraite en Algérie à quinze mille dinars (15 000 DA) pour ceux qui percevaient une pension inférieure à dix-mille dinars (10 000 DA) et à vingt-mille dinars (20 000 DA) pour ceux qui percevaient une pension de quinze-mille dinars (15 000 DA), pour l’harmoniser avec le seuil minimum des salaires qui a lui aussi augmenté de 18 000 DA à 20 000 DA depuis 2021.

L’augmentation de l’allocation chômage de 13 000 DA à 15 000 DA nets d’impôts, en plus de la prise en charge par l’Etat des charges de la couverture sanitaire des chômeurs pendant la période de bénéfice de l’allocation.

Le Président a enjoint au gouvernement d’introduire davantage de facilitations pour la création d’entreprises économiques dans différents domaines à même d’intégrer l’Algérie dans l’économie intelligente en vue de résorber le chômage des jeunes.

Le président de la République a mis l’accent sur la nécessité d’aligner la grille des salaires d’abord sur le pouvoir d’achat, puis sur le soutien continu destiné à la catégorie socialement vulnérable, en tenant compte de la valeur du travail et du développement de la production en tant que principales références pour la revalorisation des salaires.

Les augmentations importantes des salaires toucheront 2,8 millions fonctionnaires

Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Youcef Cherfa, avait révélé que «les importantes augmentations salariales approuvées par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, toucheront 2,8 millions de salariés».

Abordant les augmentations des allocations de retraite, le ministre a évoqué la première catégorie de bénéficiaires, qui sont affiliés à la Caisse nationale des retraites depuis moins de 15 ans, et leurs allocations varient actuellement de 4000 DA à 10 000 DA, annonçant que «les augmentations de leurs subventions atteindront 11 000 DA, et 900 000 retraités bénéficieront de cette procédure».

Quant à la pension de retraite qui était de 15 000 DA, elle sera portée à 20 000 DA ; 250 000 retraités bénéficieront de cette procédure».

L’Algérie relance plusieurs grands projets miniers

Or, zinc, cuivre, phosphates… L’Algérie dispose d’importantes ressources minérales et compte sur elles pour diversifier son économie.

Pour réaliser ses ambitions industrielles, le pays a relancé plusieurs grands projets miniers. Celui de Gara Djebilet est l’un des plus structurants. Après des années d’études, les travaux d’ouverture ont débuté cet été. A terme, l’objectif est d’extraire des dizaines de millions de tonnes par an, dont les 12 millions de tonnes nécessaires à la sidérurgie algérienne.

La mine de Gara Djebilet n’est pas le seul mégaprojet : un projet intégré de phosphate à Tébessa, dans l’est, est destiné à l’exportation d’engrais. A Béjaïa, plus au nord, un important gisement de plomb et de zinc doit être exploité.

Aujourd’hui, l’économie mondiale a besoin de métaux et de produits minéraux, et l’Algérie veut saisir cette opportunité pour créer de la richesse, de l’emploi, pour se développer et pour laisser aux générations futures des projets substantiels, des projets de valeur.

L’Algérie vient de réformer sa loi minière et a décidé de créer une nouvelle école pour les futurs professionnels des mines.

Près de 38 milliards DA pour le raccordement au gaz et à l’électricité durant 2022

Une enveloppe financière de 37,88 milliards DA avait été affectée au raccordement des zones d’ombre au gaz et à l’électricité en 2022.

Le président de la République avait demandé de trouver des solutions aux quartiers dépourvus de gaz et de réseaux d’assainissement, estimant qu’il était inconcevable de ne raccorder ces cités qu’au gaz.

Le Groupe Sonelgaz a investi plus de 22 milliards de dinars dans le cadre de la réalisation du programme du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour le raccordement des zones isolées en électricité et en gaz naturel.

Ce montant englobe plusieurs programmes, tels le programme quinquennal, le programme complémentaire, le programme du Fonds commun des collectivités locales (FCCL), ainsi que le programme des zones d’ombre.

Le nombre des projets réalisés, jusqu’au 30 juin 2022, «s’élève à 2570 projets en électricité et 2383 projets en gaz, soit l’équivalent du raccordement de 60 369 ouvrages électriques et 239 169 ouvrages de gaz».

Plus de 25 milliards DA pour raccorder plus de 20 000 exploitations agricoles

En outre, Sonelgaz a adopté un programme spécial pour le raccordement des exploitations agricoles, doté d’un budget de plus de 25 milliards de DA visant à «accélérer le développement agricole et renforcer la production agricole nationale».

Compte tenu de l’importance de cette opération, «le nombre d’exploitations agricoles raccordées a atteint 20 233 sur un total de 45 878 exploitations, soit un taux de réalisation de 44%».

Sonelgaz a aussi investi dans le raccordement des zones industrielles en procédant à l’étude de 41 dossiers sur 48 demandes de raccordement de zones industrielles, permettant ainsi à 3470 clients d’accéder aux deux énergies, soit 85% du total des dossiers déposés.

Sonatrach a réalisé plusieurs découvertes pétrolières en 2022

Les dernières découvertes de pétrole et de gaz, réalisées par Sonatrach, notamment depuis le début de l’année en cours, consolident la position du groupe sur le marché international en tant que fournisseur sûr et fiable des hydrocarbures, dans un contexte mondial marqué par une forte demande.

Entre 2020 et 2022, pas moins de 35 nouvelles découvertes d’hydrocarbures ont été enregistrées, dont 34 découvertes en effort propre de Sonatrach.

Durant le seul premier trimestre de l’année en cours, Sonatrach a réalisé trois nouvelles découvertes de gisements pétroliers, dont une importante découverte au niveau du périmètre de Touggourt, avec un gisement estimé à hauteur d’un milliard de barils.

En partenariat avec l’Italien ENI, le groupe Sonatrach a annoncé en mars dernier une autre importante découverte de pétrole dans le périmètre de recherche Zemlet El Arbi, dans le bassin de Berkine.

La conjoncture favorable du marché gazier a permis d’augmenter les exportations en 2021 de 54% à travers les gazoducs et de 13% par méthaniers.

Le groupe compte augmenter sa production de gaz à plus de 140 milliards de mètres cubes à court terme (contre 130 milliards actuellement), en multipliant les projets d’exploration sur les régions gazières du sud-ouest algérien et même dans l’offshore.

Ainsi, d’ici à 2026, Sonatrach compte investir 40 milliards de dollars dans l’exploration, la prospection et la production.

Le groupe est arrivé en tête du classement annuel des 500 meilleures entreprises africaines en 2022, en tant que première entreprise africaine, confirmant ainsi son leadership au niveau du continent.

Le rapport mensuel de l’Organisation des pays arabes exportateurs de pétrole (OPAEP) classe également l’Algérie en tête des pays «hautement fiables» en matière d’approvisionnement en gaz de ses clients.

Signature de la loi portant statut de l’auto-entrepreneur et la loi de finances 2023

Le 19 décembre 2022, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a signé la loi portant statut de l’auto-entrepreneur.

Initiée par le ministère de l’Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises, la loi a été approuvée par les deux Chambres du Parlement.

Le nouveau cadre juridique permettra aussi aux jeunes du secteur informel d’exercer leurs activités dans un cadre officiel et de bénéficier d’une couverture sociale.

Le 25 décembre 2022, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a procédé à la signature de la loi de Finances pour 2023, qui entrera en vigueur le 1er janvier 2023.

L’Algérie s’intéresse aux «BRICS»

Parmi les caractéristiques les plus importantes qui ont marqué l’année 2022 sur le plan économique, figure l’annonce par le président Abdelmadjid Tebboune de la volonté de l’Algérie de rejoindre le bloc «BRICS», qui comprend la Russie, la Chine, l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud, qui sont les pays les plus importants.

L’Algérie a reçu une réponse positive de la Russie et de la Chine dès qu’elle a annoncé sa volonté de rejoindre les BRICS, alors que cette adhésion, si elle se concrétise, devrait contribuer à la concrétisation de nombreux avantages pour l’économie algérienne, notamment le transfert d’expérience et de technologie, la promotion de la coopération économique et commerciale avec ces pays, le flux des investissements et l’exploitation des opportunités, le financement étranger des mégaprojets et l’adoption du modèle économique en croissance rapide de ces pays.

 

Tags: 2022Algérieéconomie
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