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Cet acquis montre, si besoin est, que l’Algérie qui sortait exsangue d’une époque tragique et à contrecourant des aspirations du peuple, a repris sa place dans le concert des nations, à la faveur de la politique éclairée du premier magistrat du pays, Abdelmadjid Tebboune, qui a réussi à concrétiser sur le terrain pas moins de 42 des 54 engagements qu’il avait pris au lendemain de son investiture à la magistrature suprême.
De par sa conduite éclairée, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, soutenu par une vaste adhésion populaire, a véritablement métamorphosé l’Algérie.
Restaurer le prestige de l’Etat algérien avant tout
L’on se rappelle que dans son premier discours, après la prestation de serment constitutionnel, le président Abdelmadjid Tebboune avait donné les axes les plus importants de cette stratégie qui, selon lui, visent à «restaurer la confiance du peuple dans son Etat».
Comme priorité des priorités, le prestige de l’Etat algérien avait grandement besoin d’être restauré avant toute autre considération.
Ce pourquoi, un grand atelier a été lancé en achevant l’édification institutionnelle parallèlement à l’éthique de la vie publique, en luttant contre toutes les formes de corruption et en consacrant l’indépendance de la justice.
L’Algérie nouvelle retrouve sa position naturelle et méritée
C’est ainsi que la nouvelle Algérie est le fruit de la concrétisation de plus de 80% des 54 engagements du président de la République, en franchissant des étapes importantes. Résultat des courses : l’Algérie avance vers le sommet, qui est sa position méritée et naturelle.
Sur le plan politique et conscient que la construction de la nouvelle Algérie ne peut se faire que par ses enfants, le président Abdelmadjid Tebboune s’est attelé à entreprendre de larges consultations avec tous les partenaires politiques, économiques et sociaux.
En matière de mise sur pied des institutions constitutionnelles, gage d’une gouvernance démocratique de choix, le président de la République a fait de ce volet l’une de ses priorités en s’appuyant sur le contrôle du travail des fonctionnaires et en veillant à l’exécution des décisions gouvernementales et à l’application des lois de la République.
Il est important de souligner que cet effort a été particulièrement remarqué par les Etats membres du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, qui ont, à l’unanimité, tenu à saluer le succès de l’Algérie dans la mise en place d’un édifice institutionnel solide.
Le citoyen au cœur des priorités
De toutes les entreprises du chef de l’Etat depuis son arrivée au sommet de l’Etat, le président Abdelmadjid Tebboune a fait de cette question un choix irréversible conformément à la Déclaration du 1er Novembre 1954, qui stipule que l’Algérie est une République démocratique, populaire et sociale.
C’est pourquoi, s’agissant du caractère social de l’Etat, le président de la République n’a eu de cesse d’affirmer qu’il s’agit «d’une ferme conviction que nous n’abandonnerons pas».
Sur un autre registre, des instructions ont été données dans la confection de la loi de Finances 2023 pour renforcer les acquis sociaux par des mesures visant à améliorer le pouvoir d’achat du citoyen.
Les salaires, l’allocation chômage et de retraite, pour ne citer que ces volets, ont été revues en ordonnant au gouvernement de commencer à verser ces augmentations à partir de janvier 2023.
En définitive, s’il y a un qualificatif à donner au passage du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, au sommet de l’Etat depuis son intronisation par le peuple, le mot «métamorphose» semble le mieux indiqué.