En matière de protection de l’enfance, l’Algérie, pays pionniers dans la ratification d’innombrables conventions internationales, a franchi de grands pas en matière de consécration des droits de l’enfant et de sa protection dans les différents domaines.
A coté de ce rôle majeur inscrit dans les priorités des pouvoirs publics, la Déléguée nationale à la protection de l’enfance, Meriem Cherfi a, notamment a fait savoir, dimanche, que «le renforcement de la protection et de la promotion de l’enfance était l’une des priorités des politiques nationales», tout en mettant en exergue «les grands pas franchis par l’Algérie en matière de consécration des droits de l’enfant et sa protection».
«La protection, la promotion et le bien-être de l’enfance sont au cœur des priorités des politiques nationales», a précisé Cherfi en marge d’un cycle de formation relatif à «l’intérêt suprême de l’enfant».
Pour étayer ses dires et marquer de manière solennelle l’attachement de l’Algérie à la protection de cette frange juvénile, Meriem Cherfi a rappelé les acquis réalisés dans le domaine de l’enfance sur le double plan législatif et institutionnel en expliquant que «l’arsenal juridique relatif à cette catégorie s’est remarquablement renforcé, notamment après la promulgation de la loi 15-12 du 15 juillet 2015 relative à la protection de l’enfant, en vertu de laquelle l’Organe national de protection et de promotion de l’enfance (ONPPE) a été créé». Considérant, à juste titre, qu’il s’agit là d’un acquis de qualité, Meriem Cherfi a ajouté que «cela est venu s’ajouter à bien d’autres acquis dans ce sens».
Ce qui, selon elle, dénote «l’intérêt majeur» accordé par l’Etat au dossier de l’enfance sous la direction éclairée du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune.
Il est important de savoir que le cycle de formation initié par l’ONPPE en coordination avec le ministère de la Justice et en collaboration avec le bureau de l’Unicef à Alger qui s’étalera sur en quatre jours verra la participation de nombreux juge des mineurs