Saida Neghza, présidente de la Confédération générale des entreprises algériennes (CGEA), a affirmé aux médias présents que « l’investissement algérien à l’étranger, dont la promotion constitue une des priorités du gouvernement, est porteur d’une série d’avantages pour les opérateurs, dont l’extension de l’investissement, la rentabilité des fonds injectés et l’acquisition de la technologie et le savoir-faire », ajoutant : « L’économie nationale qui est jusque-là tributaire de recettes pétrolières tirera le plus grand profit.»
Par ailleurs, pour la présidente de la CGEA, «la diversification des recettes en devise, la consolidation de la croissance économique, l’amélioration des indicateurs de la macroéconomie sont, en substance, le but escompté par les pouvoirs publics en mettant au goût du jour le nouveau code d’investissement qui paraîtra le mois de juin prochain».
C’est pourquoi, selon elle, « il est plus qu’indiqué d’adopter une stratégie solide et efficace pour réaliser les objectifs escomptés».
Il est utile de rappeler que le Forum africain poursuivra ses travaux sous la forme d’ateliers, jeudi, à l’hôtel Sheraton du Club des Pins, avec l’ambition de conclure avec des recommandations et une feuille de route salutaire pour le continent africain en matière d’investissement.
En un mot, la rencontre économique qu’abrite l’Algérie a pour principal objectif de faire connaitre l’Algérie aux Africains et l’Afrique au monde économique algérien qui s’est tracé comme objectif, depuis l’arrivée du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à la magistrature du pays, de diversifier son économie.