Le Centre national du cinéma et de l’audiovisuel (CNCA), à sa tête Mourad Chouihi, s’incline à la mémoire de l’immense réalisateur Djamel Bendedouche qui vient de quitter la scène artistique et le monde du cinéma discrètement, laissant à la postérité de nombreux films, dont celui qui l’a projeté en haut de l’affiche, «Arezki l’Indigène», tourné en 2007.
En effet, très peiné d’apprendre son décès, Mourad Chouihi s’est empressé de présenter ses sincères condoléances à la famille du défunt et à toute la famille du cinéma national.
L’un de ses derniers faits qui exprime l’attachement de Djamel Bendedouche à la culture et à la préservation de la mémoire remonte à cinq années lorsqu’il avait fait don d’une réplique de guillotine utilisée dans le tournage du film «Arezki l’indigène», à la direction de la culture de Tizi Ouzou.