Dans un style qui lui est propre et avec une touche qui laisse penser qu’il veut ratisser large, le jeune journaliste et auteur Mehdi Boukhalfa vient d’enrichir sa bibliographie en publiant un livre intitulé «Mes frères reviennent, bons bisous d’Algérie».
Selon la fiche technique de sa nouvelle publication, il s’agit d’un récit où l’ironie occupe une place de choix. Journaliste de son état, l’actualité est un abreuvoir intarissable pou lui. Aussi, la vie quotidienne et les phénomènes sociaux qui donnent de la couleur aux rues de sa ville et de son pays y sont également retrouvés avec une pointe d’ironie, qui laissent penser que Mehdi Boukhalfa a plusieurs flèches à son arc.
Sur le plan de la ligne éditoriale, force est de constater que le jeune auteur propose à ses lecteurs de redécouvrir ses écrits dans la presse nationale publiés entre 2015 et 2017. Pour la plupart de ses écrits, il est clairement établi qu’ils portent un regard approfondi sur les comportements et phénomènes sociaux, la situation économique et sociale, et les journaux algériens durant ces trois années.
Par ailleurs, l’écrivain revient sur les difficultés sociales et économiques qui ont caractérisé cette tranche de temps. Les problèmes que rencontrent les citoyens, tels le pouvoir d’achat et leur insurmontable difficulté à faire face à cette situation y sont également évoqués dans son nouveau livre qui sera sur les étals incessamment.
Pour ce qui est de ses articles mis en valeur dans sa nouvelle publication, ceux-ci traitent de nombreux événements marquants dans le domaine politique et des événements internationaux, comme les élections présidentielles en France et aux Etats-Unis.
Et comme il était sur tous les fronts, Boukhalfa a également évoqué le football, les éliminatoires de la Coupe du monde en Russie 2018, le système éducatif et les habitudes touristiques des Algériens.
En quelques mots, l’écrivain Mehdi Boukhalfa est né en 1955 à Alger ; sociologue de formation, il a débuté sa carrière de journaliste en 1983 à l’Agence de presse. En 2019, il signe son premier livre, «Mama Bennett».