La commission de l’agriculture, de la pêche et de la protection de l’environnement de l’Assemblée populaire nationale (APN) a tenu une réunion présidée par son président Lahcene Laabid.
Au début de son allocution, le chef de la commission a souligné l’entière disponibilité de cette instance à ouvrir la porte à tous les acteurs de ce secteur pour faire part de leurs préoccupations et suggestions et travailler ensemble en soumettant suggestions et recommandations aux autorités compétentes.
Le Président de l’Organisation nationale pour la protection de l’environnement et du patrimoine algérien et l’activation des énergies renouvelables, Yahia El Bahri a présenté, d’abord, l’organisation qu’il préside et le rôle qu’elle joue, qui œuvre pour être un élément actif dans les domaines de la protection de l’environnement, du patrimoine algérien et l’activation des énergies renouvelables à travers la protection de l’environnement et de la diversité écologique, la protection du patrimoine et la valorisation de toutes ses composantes, ainsi que la promotion et l’expansion des projets d’investissement dans le domaine des énergies renouvelables, et ce par l’adoption d’un programme élaboré conformément aux fondements scientifiques à long terme, notamment, poursuit l’intervenant, que la protection de l’environnement et les énergies renouvelables font partie des enjeux d’actualité d’une grande importance ces dernières années.
Par ailleurs, le chef de l’organisation a suggéré aux membres de la commission de changer la stratégie du travail des organisations et associations, en passant d’organisations de consommateurs soutenues par l’État à des organisations productives à caractère entrepreneurial au profit du trésor public.
Au cours de leur intervention, les membres de la Commission de l’agriculture ont insisté sur la nécessité de mettre à jour certaines des lois organiques conformément aux évolutions en cours.
Ils ont également appelé à l’implication de tous les acteurs dans les activités de l’organisation, et aller sur le terrain, afin de savoir la réalité et soulever des préoccupations auprès des organes de tutelle pour de valoriser les énergies, et le développement durable.
L’un des participants a suggéré, pour sa part, l’expérience communale comme modèle à généraliser sur toutes les communes du pays.