Le président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, Pr Kamel Sanhadji, a souligné aujourd’hui, dimanche, que l’Algérie, comme le reste du monde, connaît une véritable épidémie, et par la vaccination, on peut l’éviter.
Sanhadji a indiqué lors de son passage à une émission à la télévision publique, que “le mutant “Delta” est dominant et dominant dans le pays et constitue plus de 99% des infections.”
Le professeur a ajouté que “la vaccination disponible en Algérie est efficace et efficace sur le mutant “Delta”, et confère une immunité avec laquelle on peut affronter le nouveau mutant “Omicron”.
Le spécialiste affirme que c’est le variant delta qui domine actuellement en Algérie, et ce, avec pas moins de 99% les contaminations.
Toujours dans le même sillage, le Pr indique que les vaccins disponibles en Algérie son fiables et efficaces contre le variant delta, précisant qu’ils pourront également fournir une immunité à même de faire face au nouveau variant omicron.
Concernant les caractéristiques de ce dernier, l’intervenant affirme que le variant omicron a, certes le capacité de se propager rapidement, mais ses symptômes son plus légers que ceux de delta. d’ailleurs, il précise qu’aucun décès n’a été enregistré jusque-là auprès les cas confirmés de ce variant.
Le professeur Sanhadji a révélé que” les caractéristiques du virus Omicron se propagent rapidement, mais ses symptômes sont légers et inférieurs à ceux du mutant “Delta”, et aucun décès n’a été enregistré avec ce mutant jusqu’à présent.
L’intervenant a indiqué que les symptômes seraient plus légers, mais inhabituels. selon le spécialiste, le variant omicron ” toucherait plutôt les hommes de moins de 40 ans, qui souffriraient d’une fatigue extrême, de courbatures, d’une toux sèche, mais sans perte ni de goût ni de l’odorat “.
Selon l’OMS , les symptômes du nouveau variant Omicron , la fatigue extrême, chaleur et toux sèche – tels sont les principaux symptômes ressentis par les personnes infectées par le nouveau mutant omicron découvert en Afrique du Sud.
Cependant, l’organisation a noté qu’il n’y a pas d’informations spécifiques sur la gravité de la maladie causée par la variante. Un responsable de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré à l’agence de presse Reuters que les vaccins anti-Covid-19 développés jusqu’à présent pourraient également convenir à Omicron. Selon lui, même s’ils devaient apporter des modifications au composant du vaccin, ce sont de très petits changements.