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Taux de remplissage des barrages insuffisants, quel est l’impact ?

Une nouvelle politique algérienne de l’eau doit être appliquée

Amel Zayoun by Amel Zayoun
novembre 16, 2021
in Economie, Flash-info, la une
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La crise de l’eau en Algérie continue malgré la chute de la pluie. Le taux de remplissage des barrages est toujours insuffisant. La situation hydrique actuelle pose des problèmes au niveau des ménages et de l’économie. Une nouvelle vision de la politique de l’eau pour subventionner la consommation de l’eau est recommandée par les experts.  L’eau pose actuellement un problème de sécurité nationale si la future politique de l’eau ne sera pas adaptée avec les nouvelles émergences nationales et mondiales.

La politique de la gestion d’eau doit être changée

L’investissement dans les barrages n’a pas été accompagné par la maintenance, a confirmé, Abderrahmane Mebtoul, expert international en économie, à Maghreb Info. « Les barrages sont envasés et ceux qui sont datés de dizaines d’années ont besoin de maintenance », a-t-il précisé. Il faut prendre en compte, selon l’expert, l’avenir de l’Algérie en matière d’eau appartient aux unités de dessalement. « Il y  a un rapport de l’ONU sur l’impact du réchauffement climatique  qui dit que la région du Maghreb et la région Subsaharienne vont connaitre entre2025 et 2030 une sécheresse inégalée », a indiqué Mebtoul.

Actuellement l’Algérie doit maitriser la technologie car elle importe beaucoup de composants qui peuvent être produits au niveau local et induire des industries de PMI et PME, d’après l’expert, qui donné un exemple de l’expérience de l’Espagne dans ce sujet. « En Espagne, lorsqu’ ils construisent un hôtel ils sont obligés de faire une petite unité de dessalement, comme à Benidorm ou Alicante ou Barcelone », a-t-il noté. La tarification de l’eau est considéré également un problème dans la politique algérienne de l’eau dans le cadre du dossier de la subvention présenté dans le projet de la loi de finance 2022. Mebtoul a révélé qu’en Algérie un milliardaire ou un citoyen de classe moyenne payent le même prix du mètre cube. « Il faut revoir la tarification  en suivant la classification sociale », a-t-il souligné.

D’autre part, la crise d’eau continue de perturber la l’alimentation des habitations en eau. A Alger, à titre d’exemple,  le programme de distribution connait toujours des problèmes. Ni la chute des pluies cette dernière période, ni l’augmentation du niveau de remplissage des barrages n’a pu être une solution. Les habitants agacés de la situation dégradée, cherchent des explications de la part de la Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger (SEAAL), que Maghreb Info a contacté mais sans pouvoir avoir des réponses. A Aïn Benian, l’eau dans les robinets coulent une fois chaque trois jours de 11h du matin jusqu’au soir. A Bordj El Bahri et les Bananiers c’est une fois sur deux que l’eau arrive. Au niveau de certains quartiers dans la commune de Baraki, l’eau ne connaissait pas de coupures mais depuis une semaine, malgré la chute de la pluie, l’eau arrive une fois chaque deux jours. Les citoyens espéraient la régulation du problème de l’eau après  les grandes quantités de pluie mais ce n’est pas ce que les responsables du secteur des ressources en eau en confirmé. La sécheresse existe encore, et les citoyens restent en attente de la solution.

L’agriculture est la plus touchée en économie par la crise d’eau

Le problème de l’eau est un problème crucial pour l’avenir qui a un impact à la fois sur les ménages et sur les unités industrielles qui consomment beaucoup d’eau, notamment dans l’agriculture. L’expert Abderrahmane Mebtoul a déclaré qu’il est possible d’aller vers la technique d’irrigation de « goutte à goutte » pour économiser la consommation de l’eau  pour la production des fruits, légumes et les arbres contrairement à la céréaliculture. L’expert a proposé l’utilisation de l’eau du Sud comme l’eau douce à Timimoune. «  Si cet océan du désert algérien peut être utilisée sans briser l’écosystème pour l’agriculture, pourra imaginer des unités de canalisation comme on le fait pour le gaz du Sud vers le Nord », a indiqué Mebtoul. Le manque d’eau a impact sur l’exploitation du fer de Ghar Djebilet car les unités de ce projet consomment énormément de quantité d’eau, et donc ces unités doivent payer le prix réelles de l’eau, a-t-il ajouté.

Dans le même contexte économique,  Slimane Nacer, expert en économie a confirmé que l’agriculture est le secteur le plus touché par le problème  d’eau que vit l’Algérie depuis des mois surtout au Nord du pays, car il existe au niveau des régions du sud la possibilité d’exploitation des puis et l’utilisation de certaines techniques d’irrigation agricoles adaptés. Il a précisé qu’au Nord que l’irrigation des champs de blé et de céréales est plus difficile en comparant avec les champs des légumes et de fruits qui sont généralement moins spacieuses. « Les grands champs agricoles au niveau des frontières ont besoin de pluie et les techniques d’irrigation sont insuffisantes dans ce cas », a-t-il souligné. Selon le constat de l’expert, parmi les choses qui ont causé le problème de la production de la pomme de terre est lié à la sécheresse durant la saison passée. Afin de répondre aux besoins nationaux en eau dans les différents secteurs économique, Slimane Nacer a proposé d’abord de faire la différence entre les besoins économiques et les besoins d’alimentation des citoyens dans la gestion de cette matière en mettant en place des programmes spéciaux basé sur la construction des barrages et l’assainissement d’eau. « La solution c’est l’investissement dans les barrages d’eau répondre aux besoins des habitants du nord à travers les stations de l’assainissement d’eau pour faire face à cette crise. », a précisé l’expert.

L’eau dans les barrages est insuffisante

Le taux national moyen de remplissage des barrages est de 33,7%, équivalent à plus de deux milliards et demi de mètres cubes est enregistré  après la légère progression de la pluviométrie nationale durant ces dernières semaines a annoncé hier, la directrice centrale de l’Agence nationale des barrages et transferts, Nadia Ouchar, dans l’Invité de la rédaction de la Chaine 3 de la Radio Algérienne. Selon Ouchar la sécheresse existe actuellement malgré le retour des pluies sur plusieurs wilayas entre octobre et novembre. Elle a précisé qu’  « à l’Est le taux de remplissage est de 57,5%, alors qu’au Centre et à l’Ouest, les taux n’ont pas dépassé, respectivement, les 29,6% et 22,5% ». La responsable a déclaré que « le barrage de Mascara a subi des lâchers d’eau, celui du Chelf n’a pas dépassé les 20,54% alors que celui de Taksebt, qui alimente l’Algérois, reste toujours en état critique, tandis que celui de qui alimente l’Oranie, n’a recueilli que quelque 50 millions de mètres cubes ». D’après Ouchar, cet apport appréciable reste relativement bénéfique en ajoutant qu’ « il faut attendre encore quelques temps pour se prononcer sur un état des lieux plus ou moins exhaustif ». Concernant la politique de gestion des ressources en eau, Nadia Ouchar a expliqué la réduction de la pluviométrie, à mener à « établir des plans de gestion de la sécheresse afin de remédier à la gestion dynamique selon les apports disponibles en Algérie » et qu’  « une rationalisation de la consommation de l’eau durant les périodes sèches, comme cela a été fait pour les années 2002, 2003 et 2004, au cours desquelles le pays a connu un sévère stress hydrique ».

Dans le même cadre, le directeur central de l’Agence nationale des barrages et transferts, El Ouardi Ben Ali a déclaré, hier, à la télévisons d’Echourouk Tv  que depuis trois ans l’Algérie connait un manque énorme de pluie. Il a souligné également que les changements climatiques sont la source de ce problème de sécheresse.  Il faut savoir que l’eau va être un enjeu très important.

Actuellement tous les secteurs économiques ont connu un endommagement à cause de l’insuffisance d’eau dans les barrages, et une nouvelle vision de la politique de gestion de l’eau en Algérie est devenue plus que nécessaire.

Tags: AlgérieAlimentation d'eauBarragesPolitique de gestionsécheresse
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