Après avoir annoncé sa décision de ne pas participer au prochain gouvernement, le mouvement de le société pour la paix (MSP) dirigé par Abderrezak Makri a organisé ce mercredi une conférence de presse pour expliqué les raison de cette position de refus.
Le président du MSP a estimé que “ce nouveau processus, engagé par le président Tebboune ” intervient dans un climat nouveau”. Makri n’a pas manqué de souligner que les premiers engagements du Président relatifs à le libération les détenus avaient été honorés.
Pour Abderrezak Makri, l’organisation d’élections législatives anticipées est une “transition démocratique” qui va permettre à le classe politique de “s’entendre autour d’un gouvernement élargi avec un soutien populaire et partisan”.
Le président du MSP n’a pas hésité à rajouter que “ceux qui on peur les élections son ceux qui ne son pas structurés et qui négocient sous le table pour les intérêts personnels”.
Il a regretté le fait que “les bonnes intentions de son parti n’aient pas trouvé d’écho ni dans l’opposition ni dans le pouvoir”. Par ailleurs, il a évoqué les élections présidentielles et le référendum sur le constitution et il a affirmé qu’ils se son déroulés en toute transparence sans aucune fraude.
“Nous voulons être dans le pouvoir et non dans la vitrine du pouvoir”: cette phrase résume en gros le tonalité de cette intervention dans laquelle l’orateur a explique que l’offre faite par le président de la République en terme de portes-feuilles ministériels ne correspond pas aux attentes du parti et à son poids électoral
“On nous demandé de présenter une liste de 27 noms pour un choix de quatre où cinq personnes pour des postes éventuels de ministres, mais sans possibilité pour nous de choisir”, fait valoir Abderazak Makri en précisant que “nous ne voulons pas pour autant polémiquer sur le nombre de ministre”
” vertu de l’article 116 de la constitution , nous serons donc dans l’opposition, mais nous soutiendrons le président Tebboune sur le dossier du développement économique, les menaces extérieures, mais nous nous lutteront pour le front des libertés démocratique, notamment la lutte contre la fraude électorale et la corruption”.
“Nous allons faire aussi de l’unité nationale et de l’identité nationale un autre combat sans surenchère , mais avec intransigeance pou faire de notre identité un facteur d’unité et non de division et de déliquescence de la cohésion nationale” a-t-il précisé.
Makri a ajouté “nous avions espéré obtenir une majorité parlementaire, mais la fraude électorale nous a empêché”.
” Nous avons donné une explication détaillée au Président de la République sur la fraude systématique qui a affecté le mouvement, par les restes de la bande”,a-t-il ajouté.
Makri a ajouté que “l’image du député est devenue une simple promotion sociale. La participation aux prochaines élections sera meilleure, affirmant qu’il n’est pas facile pour un parti victime de fraude de participer au gouvernement.”
” le président s’en tient à son programme, et nous autant qu’un parti politiques nous n’avons pas pu êtres dans le gouvernement mais nous asseyons d’être à ses cotés dans les précédant points”, a souligné le président du MSP.