Plusieurs associations de jeunes ont salué la décision du président Tebdoune de créer le Conseil supérieur de la jeunesse, le considérant comme «une occasion pour les jeunes de libérer leurs énergies et leurs talents».
Noureddine Benbraham, de l’association d’Adwaa Rights de la société civile, estime, que c’est une belle occasion qui se présente pour nos jeunes afin qu’ils s’impliquent plus dans la vie politique nationale.
Pour Meriem Belkacem, d’El Massar El Djadid, offrir des opportunités à la jeunesse c’est aussi les impliquer dans la vie du pays d’une manière organisée.
De son côté, Abderrahmane Aarar, du Forum pour le changement, assure que “la jeunesse représente aujourd’hui le maillon fort en matière de ressources humaines et jouera certainement un rôle important sur la scène politique, économique et international”.
Pour sa part, Fatih Recibi, le président de l’Organisation des étudiants algériens libres, a déclaré que la création du Conseil supérieur de la jeunesse reflète une forte volonté politique d’impliquer les jeunes dans la construction d’une nouvelle Algérie, exprimant son espoir que ses membres seront des jeunes et non adultes, comme c’était la coutume les années précédentes.
Mouhamed El-Arabi Hawadef, chef du bureau national de l’Association des créateurs d’espoir, a estimé que «la création du Conseil supérieur de la jeunesse est une opportunité favorable pour donner aux jeunes les moyens de créer et de mettre en valeur leur potentiel et leurs capacités», ajoutant que « il espère que le conseil servira les jeunes et défendra leurs droits sous réserve de l’inclusion de diverses compétences des jeunes de différents états du pays. Surtout de l’Algérie profonde. ”
Pour sa part, Abdelkrim Zarrouki, coordinateur nationale de l’association “Nass El khir”, a déclaré que la mise en place de ce conseil révèle la volonté du président d’ouvrir les portes aux jeunes pour faire exploser leurs énergies pour être une force de suggestion positive.