Khatri Addouh, membre du Secrétariat national et responsable de l’organisation politique du Front Polisario, a affirmé que ” le développement des énergies et des capacités de la communauté sahraouie est une question fondamentale et centrale dans la stratégie du Front populaire de libération de Seguia el-Hamra et de Oued Ed-Dahab et dans la politique de la RASD », comme l’a rapporté l’agence de presse Sahara.
Khatri Addouh, a expliqué dans son intervention lors des activités du Forum de solidarité sociale sahraoui qui s’est tenu au siège de l’Union de la jeunesse, “Les résultats obtenus de ce projet de solidarité, qui avait été lancé depuis 2019 sous la forme de programmes de formation dirigés vers le la société civile sahraouie, en particulier les jeunes, est très excellente. ”
Le responsable sahraoui a salué le niveau des formations dont la jeunesse sahraouie a bénéficié dans le cadre de ce projet, ainsi que les programmes de communication, tant en interne qu’en externe, y compris les sujets abordés dans ce forum et principalement la question de la défense des richesses naturelles du désert, comme ainsi que la lutte pour l’indépendance par le biais de la réhabilitation des communautés.
Il a souligné que «les formations dont les différents segments du peuple sahraoui ont bénéficié profiteront au travail national sahraoui, que ce soit dans la sphère politique et sociale ou dans les médias et les domaines extérieurs à travers des plaidoiries, améliorant, qualifiant et employant la performance des la jeunesse sahraouie sur les différents fronts dans le cadre de cette lutte pour le plaisir de prouver l’existence et de consolider la souveraineté sahraouie sur l’ensemble de son territoire, que ce soit dans les domaines diplomatique, juridique, juridique et humanitaire.
Il a souligné mon risque, “le gouvernement sahraoui a tenu à la nécessité de la poursuite de ce projet, qui a été adopté par des organisations non gouvernementales, notamment” Cheasp “,” Oxfam “et” Danish Refugee Council “, selon les conditions imposées par la pandémie de coronavirus et malgré la reprise des combats, le programme n’a pas été annulé en raison de sa grande importance.
Il est à noter que les activités du Forum sahraoui de solidarité sociale (9-11 février) se poursuivent au niveau de trois ateliers qui se tiennent dans les camps de réfugiés sahraouis de Smara, Oserd et Boujdour.
Les participants à ces ateliers étudieront des sujets liés au pillage des richesses du Sahara occidental en vertu du droit international, le rôle central des organisations de la société civile sahraouie dans la réponse aux besoins humanitaires pendant les crises, et en soulignant le rôle du patrimoine culturel saharien en tant qu’outil de dialogue.