Sabri Boukadoum, ministre des Affaires étrangères, a accompli dimanche son devoir électoral, dans le cadre du référendum sur la révision de la Constitution.
Dans une déclaration à la presse, le chef de la diplomatie algérienne a indiqué que “la nouvelle Constitution est considérée comme un nouveau départ”.
Sabri Boukadoum a expliqué que le monde est confronté à de grands défis et que l’amendement constitutionnel est venu remédier tout les dommages de l’année.
Le ministre des Affaires étrangères a ajouté “quand on parle de l’Algérie nouvelle, on parle de l’Algérie qui se renouvelle grâce à la citoyenneté et votre participation (journalistes)”, soutient-il. Et d’ajouter, ” la société civile et les journalistes ont un rôle dans l’Algérie nouvelle”.
Selon lui, dans la nouvelle Algérie il n’y aura plus ” de gouverneur et de gouvernés”. “Il faut qu’on marche main dans la main”, ajoute-il, assurant que la nouvelle Constitution est un nouveau départ pour le pays.
Enfin, le ministre des Affaires étrangères a abordé furtivement l’état de santé du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.” On lui souhaite prompt rétablissement”, a-t-il souligné.
Le vote de la communauté nationale établie à l’étranger au référendum sur le projet d’amendement de la Constitution se déroule dans “de bonnes conditions”, a indiqué dimanche le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum.”Cette nouvelle Algérie se renouvelle avec la citoyenneté de toutes les catégories de la société. Il n’y a ni gouvernant ni gouverné. Le gouvernant est issu du peuple”, a-t-il poursuivi, souhaitant, à cette occasion, “un prompt rétablissement” au Président de la République, Abdelmadjid Tebboune qui reçoit des soins à l’étranger.
à propos du vote de la communauté algérienne établie à l’étranger se déroule, depuis hier samedi, dans de “bonnes conditions”, a déclaré M. Boukadoum.
Interrogé sur l’ouverture récemment d’un consulat dans la ville sahraouie occupée de Laâyoune, M. Boukadoum a rappelé qu’il y a un droit international, soulignant que “la République arabe sahraouie démocratique (RASD) est membre de l’Union africaine (UA) et jouit de “la pleine souveraineté sur ses territoires”.