L’examen du Brevet d’enseignement moyen (BEM) se tiendra du 1er au 3 juin 2025, tandis que celui du baccalauréat est programmé du 15 au 19 juin 2025.
Dans le cadre de la préparation de ces épreuves, le secrétaire général de l’Office national des examens et concours (Onec), Mohamed Hadj Koula, a assuré que les services du ministère de l’Éducation nationale ont pris «toutes les mesures et dispositions relatives à l’organisation des épreuves du BEM et du Bac (session juin 2025) pour assurer aux candidats des conditions optimales».
S’exprimant dans une déclaration à l’APS, Hadj Koula a indiqué que près «d’un million de fonctionnaires du secteur de l’éducation ont été mobilisés pour l’organisation et l’encadrement de l’opération».
Concernant l’accès aux convocations, il a tenu à préciser que les plateformes de téléchargement «demeureront accessibles jusqu’à la fin des deux épreuves», afin de permettre aux candidats de les récupérer en cas de perte.
S’adressant aux plus de 1,6 million de candidats concernés par ces examens, le responsable les a appelés «à lire attentivement les instructions figurant sur leurs convocations, à repérer à l’avance leur centre d’examen pour éviter tout retard, et à se présenter munis de ladite convocation ainsi que de leur carte d’identité à l’entrée du centre jusqu’à la fin des épreuves».
Hadj Koula a, par ailleurs, mis l’accent sur «la nécessité pour les candidats de rejoindre les salles d’examen au moins une demi-heure avant le début de chaque épreuve (matin et après-midi)». Il a souligné qu’«est considéré en retard tout candidat arrivant après 8h pour les épreuves du matin et après 14h pour celles de l’après-midi au BEM, ainsi qu’après 14h30 pour le Bac».
En ce qui concerne le contenu des sujets, il a tenu à rassurer qu’«aucun changement n’est prévu par rapport aux années précédentes», précisant qu’ils «seront tirés des cours dispensés durant l’année scolaire».
Il a également averti les candidats contre les «faux sujets diffusés sur les réseaux sociaux», les incitant à «se concentrer sur la révision et la préparation», rappelant que les examens «sont des évaluations ordinaires, tout comme les épreuves trimestrielles passées dans les établissements scolaires».
Enfin, en matière d’accompagnement psychologique, il a signalé qu’en coordination avec le ministère de la Santé, «des psychologues seront mobilisés dans tous les centres d’examen, comme chaque année, afin d’aider les élèves à passer leurs épreuves dans le calme et sans pression psychologique».