Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) et de l’Union interparlementaire arabe (UIPA), Brahim Boughali, a participé ce samedi à Tachkent, capitale ouzbèke, à la cérémonie d’ouverture de la 150e Assemblée de l’Union interparlementaire (UIP).
«Le président de l’Assemblée populaire nationale et la délégation parlementaire qui l’accompagne ont participé, hier, à la cérémonie d’ouverture de la 150e Assemblée de l’Union interparlementaire (UIP) qui se déroule dans la capitale ouzbèke, Tachkent», indique un communiqué de l’APN
La cérémonie d’ouverture a été co-présidée par Tanzila Kamalovna Narbaeva, présidente du Sénat de la République d’Ouzbékistan, et Tulia Ackson, présidente de l’Union interparlementaire, en présence des délégations de divers pays membres de l’Union.
Il convient de noter que cette participation «confirme l’engagement du Parlement algérien à soutenir la coopération parlementaire internationale et à renforcer le dialogue entre les peuples à travers la diplomatie parlementaire».
Il est à souligner que la 150e Assemblée de l’Union interparlementaire «rassemble environ 2.000 délégués de 181 pays, ainsi que des représentants de 15 pays observateurs et plus de 25 organisations internationales et parlementaires».
D’autre part, le président de l’Assemblée populaire nationale a présidé, ce samedi, en marge de sa participation, une réunion de coordination pour la concertation et la coordination concernant le projet la clause consensuelle d’urgence qui sera présenté lors des travaux de cette Assemblée.
Un communiqué de l’Assemblée populaire nationale a précisé que Boughali, accompagné du président de l’Assemblée nationale du Zimbabwe, Jacob Mudenda, a présidé «une réunion décisive pour unifier la position arabe et africaine concernant cette clause consensuelle d’urgence».
La même source ajoute que la réunion a constitué «une étape cruciale pour unifier les visions et les positions sur les questions urgentes inscrites à l’ordre du jour de l’Assemblée, notamment celles liées à la cause palestinienne et à la situation actuelle dans la région, où l’Algérie s’est distinguée en tant qu’acteur clé».
Dans le renforcement de la coordination arabo-africaine, l’Algérie a réaffirmé «son engagement indéfectible à défendre les causes justes et à soutenir les efforts de construction de consensus au sein des espaces parlementaires multilatéraux, ce qui reflète sa position en tant que force de proposition et médiateur fiable dans les instances internationales».